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Contribution : Lettre ouverte au Ministre de l'intérieur par Abdoulaye Cissé
Lettre ouverte au Ministre de l'intérieur /
Kankourang de Mbour: Allaamouta !
Cher monsieur le ministre,
Pour l'harmonie des décisions administratives dans un contexte de gravité intermédiaire entre 3ème vague macabre et inquiétude autour d'une 4ème vague annoncée de COVID, il faut sauver votre soldat le tout nouveau préfet de Mbour.
Le chef de l'exécutif départemental n'a manifestement pas pris le temps ni de consulter son prédécesseur, ni d'évaluer le risque contextuel pour autoriser la saison de "Kankourang" rebaptiser Septembre Mandingue à Mbour.
Non Monsieur le ministre, le préfet de Mbour nous aura tous sacrifié par cette décision surprenante, irréfléchie pour ne pas dire plus et porteuse de graves risques de favoriser la propagation du virus de la COVID.
On ne devra pas attendre Octobre (tiens tiens, la rentrée scolaire) pour faire le bilan d'une décision incompréhensible Monsieur le ministre, d'autoriser la saison de Kankourang de cette année.
Les préfets de Kaolack, de Fatick ont récemment interdits les concerts de Waly Seck, de Sidy Diop....
Le gouverneur de la région de Dakar a, sans coup férir, fait ajourner les Grands combats de lutte qui étaient prévus à l'arène nationale.
Monsieur le ministre, ces événements ajournés se déroulaient pourtant en indoor, en lieu confiné, et en position statique du public.
Sauf qu'ils rassemblaient du monde. Et il faut être naïf pour croire qu'on pouvait faire respecter les mesures barrières dans une arène de lutte ou stade de concert.
Monsieur le ministre, sait-on réellement ce qu'est le septembre Mandingue à Mbour ?
Il rassemble encore plus de monde que n'importe quel autre événement culturel du pays.
Les festivaliers viennent de partout, surtout les week-end.
Et à l'inverse des événements culturels qui se déroulent dans un stade, dans un théâtre, sur une esplanade, le Kankourang sillonne la ville, se déplace partout du matin au soir.
Dans ce contexte, Monsieur le ministre, c'est le plus sûr moyen de faire circuler le virus et surtout le variant Delta dont tous les scientifiques nous disent qu'il est infiniment plus contagieux et surtout plus sévère. Les chiffres l'attestent.
Et la relative baisse de la hausse des cas de contaminations de ces derniers jours devrait pousser à la prudence et à plus de vigilance pour consolider les acquis de la riposte.
Monsieur le ministre, ce n'est certainement pas le moment de relâcher et d'encourager la forte circulation du virus.
Non ça ne fait pas sérieux un seul instant de mettre dans un mémorandum que le Kankourang va se tenir en respectant les mesures barrières.
Non, ça ne fait pas sérieux tout ça.
La légèreté avec laquelle le tout nouveau préfet prend un de ses premiers actes administratifs prouve qu'il a été "travaillé au corps" par ma "Communauté Mandingue" qui lui fait là un "passing" (thiakh en Mandingue) du genre "à charge de revanche".
Non monsieur le ministre, il n'y a aucune paix sociale à acheter, avec quelques communautés que ce soit, quand de la riposte commande encore cette année les restrictions sur un événement aussi important que le pèlerinage à la Mecque, que la grande mosquée de Dakar est encore fermée, que les grandes familles religieuses ont demandé aux fidèles chacun, de prier chez soi pour la grande fête musulmane de Tabaski au Sénégal.
Que peut bien finalement représenter le kankourang, face à cette urgence de la riposte.
Et, c'est un Mandingue authentique qui vous implore, Monsieur le ministre.
Qui va mourir parce que la saison de kankourang ne se tiendra pas ?
Peut-être ceux qui en vivent. Mais ils ont bien survécu de la suspension de la saison précédente de septembre 2020.
Et pour sûr, ils sont bien contents d'être en vie et d'avoir été épargnés par le COVID.
Même si, et on le sait, la maladie a déjà fait beaucoup de dégâts à Mbour aussi, à l'instar de certaines autres grandes villes du pays.
Personne ne va mourir parce que le kankourang ne paraîtra pas.
En revanche, oui, dans ce contexte il y'en a qui seront sacrifiés si le kankourang est autorisé parce que le virus se sera mêlé au festival qu'on sait populaire, folklorique, et surtout sportive où tout le monde transpire à courir après le kankourang.
On en oublie presque que c'est par les gouttelettes, la transpiration aussi et la sueur que se transmet le COVID.
Monsieur le ministre, je vous en conjure: sauvez ma communauté de Mbour, et des concitoyens du Sénégal qui ne rateraient pour rien au monde un week-end de septembre à Mbour.
Monsieur le ministre, prenez la décision d'autorité de corriger l'erreur fatale de votre préfet.
Personne ne souffrira de la suspension cette année encore du kankourang.
Pitié monsieur le ministre, sauvez la situation avant qu'il ne soit trop tard.
Croyez bien que le préfet de Mbour fait là un cadeau empoisonné à la collectivité mandingue.
Ma communauté Mandingue dont je n'aimerais pas qu'elle porte devant l'éternel la responsabilité d'avoir creusé une hécatombe à Mbour, et bien au-delà.
Monsieur le ministre, accepter que ce soit une décision ingratement récompensée.
Vous interdirez le kankourang qu'on ne saura pas combien de vies vous aurez permis d'épargner.
Souffrez de ne même pas pouvoir tirer gloire pour vous.
Mais si vous laissez faire, vous ne pourrez pas dire que vous ne le saviez pas.
C'est en Sénégalais que je vous interpelle monsieur le ministre, ma fibre Mbouroise en bandoulière et mon authenticité d'appartenir à la communauté Mandingue comme viatique.
Cette communauté qui perd sa sagesse depuis que l'enjeu de sortir le kankourang à fini de la diviser en 2 camps.
Chaque camp avec son kankourang.
L'absence d'unité et les violences intra-communautaires que le kankourang engendre à Mbour était déjà une bonne raison de suspendre sa parution.
Mais là, le COVID est encore plus fort que tout.
Au nom des miens monsieur le ministre de l'intérieur, retenez le kankourang de Mbour.
Abdoulaye CISSE
Journaliste-Éditorialiste,
Mbourois concerné
Mandingue authentique!
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*Allaamouta: retenez-le !
CONTRIBUTION – AFFAIRE OUSMANE SONKO/ADJI SARR : LE FOND DU PROBLEME
Durant toute mon éducation familiale et tout mon cursus scolaire, notamment en littérature, on m’a sans cesse appris, et à juste raison d’ailleurs, que le fond n’est rien sans la forme, et vice versa. Le premier pose tous les éléments constitutifs de la thématique abordée. Il évoque des arguments, relate les faits et preuves, convoque des illustrations… La seconde est un artifice langagier et technique pour rendre ces derniers plus audibles, pertinents et clinquants. Ces deux éléments fondamentaux dans tout discours, toute plaidoirie, toute attitude sont le recto et le verso d’une seule et même feuille. Mais le fond de mon propos n’est nul doute un plongeon dans mon penchant littéraire ; il s’agit plutôt d’une réaction raisonnée à l’actualité politique de la patrie de LAT Dior NGONE LATYR DIOP.
Ousmane SONKO a été accusé de viol et de menace de mort par la désormais célèbre masseuse ADJI SARR. En droit, tout accusé bénéficie d’une présomption d’innocence. Autrement dit, dans une procédure d’instruction pure et simple, il n’est ni innocent, ni coupable. En parallèle, la seule arme juridique que puisse dégainer l’accusatrice demeure incontestablement la plainte à travers laquelle elle mentionne, détaille et dénonce le crime subi tout en aspirant, par la voie de la justice, à une réparation à la hauteur du préjudice. Elle est autant présumée victime que potentielle calomnieuse ou menteuse. Le statut de victime est double en ce sens qu’il peut être incarné par chacune des deux parties durant toute la durée de l’instruction.
Alors, SONKO est-il coupable du crime odieux dont il est accusé ? Le commun des sénégalais dont je fais partie n’en sait foutrement rien, puisqu’il est question de foutre dans ce dossier. Fait-il l’objet d’un complot orchestré sans scrupules par le pouvoir exécutif ou a-t-il fait preuve d’imprudence en se prodiguant des soins thérapeutiques dans un salon de massage ? Ces questionnements sont légitimes lorsque l’on scrute objectivement l’histoire politique du Sénégal. Ils sont recevables au regard des pratiques habituellement sournoises et machiavéliques qui ont porté MACKY SALL au pouvoir et dont il continue d’user systématiquement pour sanctuariser ce dernier. Là gît, en partie, le fond du problème.
Installé avec nonchalance sur le cheval de l’A.P. R il a galopé toutes les marches vers le palais présidentiel tout en usant des violents et acérés coups de sabots de sa monture pour écraser, crocheter, frapper, torturer, humilier son mentor ainsi que tous ses adversaires, y compris les plus mordants. Moustapha Niasse se gave de l’argent du contribuable en lui servant de larbin et de fou du roi au sein d’un hémicycle institutionnel aux allures d’un concurrent direct du Grand Théâtre. Karim Wade ne peut même plus bénéficier de son droit le plus élémentaire qui est celui de voter. L’élan et la ferveur populaires de Khalifa SALL ont été brutalement foudroyés dans une affaire de vol de deniers publics. Par le même modus operandi, Idrissa Seck, jadis trahi et jeté en pâture dans le dossier des chantiers de Thiès, a signé son propre assassinat politique en acceptant un poste de complaisance dans une institution aussi budgétivore et publiquement peu impactante que la plupart des agences nationales ou gouvernementales. Des activistes et lanceurs d’alerte comme Guy Marius Sagna font des allers-retours permanents en prison juste pour avoir déclaré leur flamme à une patrie libre. Une éternelle et tranchante épée de Damoclès pèse sur les moindres faits et gestes de Barthélémy Diaz, allant jusqu’à nuire, tel un virus nébuleux, au lien affectivement impénétrable qu’il nourrit à l’égard de son père. Who’s NEXT ? A qui le tour ? Qui restait-il à mettre hors d’état de nuire ? Nul besoin de la VAR pour valider le but. Le leader du PASTEEF bien sûr. Face à cette évidence, l’imprudence de Ousmane SONKO a une profonde résonance.
Des douleurs dorsales lancinantes auraient incité le fils de la Casamance à pousser plusieurs fois la porte du salon de massage Sweet Beauty, selon ses dires. En tant qu’homme il est absolument libre de soulager son mal gangrénant ou de bénéficier de soins corporels de remise en forme où bon lui semble. Pour pousser le bouchon plus loin, Il a même le droit absolu, en tant qu’homme, de choisir ADJI SARR comme masseuse attitrée. Avec plus si affinités, il a aussi le droit d’avoir avec elle des rapports sexuels non tarifés et consentis dans le strict cadre de leur vie privée et dans un espace autre que celui dédié au massage professionnel. Mais SONKO n’est pas un simple homme. C’est un Député. Il est un sérieux prétendant au pouvoir suprême, un présidentiable. Ces dernières décennies, il a été pour le Président MACKY SALL ce qu’Alexeï NAVALNY est pour Vladimir poutine, ce que le cybermilitant Julian ASSANGE, fondateur de Wikileaks, est pour le Nouvel Ordre Mondial ou la sacrosainte Communauté internationale. En un mot c’est un farouche opposant au profil et parcours atypiques et œuvrant pour une New deal politique en Afrique et la formation d’un Nouveau Type Sénégalais. Alors, avec son envergure politique, force est de constater qu’il a été carrément maladroit ou imprudent de fréquenter ce salon de beauté pour quel que motif que ce soit. La thérapie dont il aurait besoin n’est en aucun cas appliquée dans une structure pareille. En outre, le secteur des instituts de massage a été fortement secoué, il y a quelques années, par des scandales sexuels et des affaires de mœurs. SONKO se sait traqué et ennemi à abattre. Les nombreuses tentatives de déstabilisation et de diabolisation (« indépendantiste casamançais », « ennemi juré des confréries religieuses », l’affaire des 40 milliards, les messages audio WhatsApp…) dont il a fait l’objet dans un passé lointain comme récent en sont des exemples parlants. Bien que l’erreur soit endogène à l’être humain, Ousmane SONKO ne mérite pas pour autant cette honteuse cabale qui fragilise dangereusement les fondations de notre nation, piétinant par la même occasion, tel un vulgaire paillasson, les valeurs humanistes sur lesquelles notre société s’est construite. Le véritable fond du problème est justement à ce niveau.
Pourquoi la même opération aux allures militaires n’a pas été déployée pour aller arracher par la force Serigne MODOU KARA de son domicile à la suite de l’affaire des deux morts dans l’un de ses centres de redressement ? Des auteurs reconnus de blanchiment d’argent, de trafic de faux billets, de faux et usage de faux… n’ont jamais été autant persécutés et politiquement lynchés. Plusieurs noms ont été cités dans des affaires supposées de corruption, de pot de vin ou de malversations financières dans des secteurs hautement stratégiques. Que nenni ! Parce que tout simplement on vit dans un pays divisé : les intouchables d’un coté et les militants dans l’âme de l’autre.
Dans un contexte dramatique lié à la COVID-19, pourquoi le Procureur utilise démesurément les moyens d’un Etat de plus plus policier au service d’un parti au pouvoir dans le seul but d’écarter et de ligoter un homme, innocent jusqu’à preuve du contraire, qui leur tient tête et est véritablement le seul à révéler pour des raisons d’utilité publique, toutes les magouilles et honteuses pratiques qui scient la branche sur laquelle notre avenir est assis ? Serait-ce probablement pour maquiller leurs carences et toutes les promesses électorales non tenues : la bonne gouvernance, l’Etat de droit, l’immobilisation du TER, la gabegie dans la distribution alimentaire lors de la première vague de l’épidémie… ? Serait-ce pour servir un énième spectacle infécond au peuple sénégalais pour mieux le divertir, l’enliser dans ses errements quotidiens et séculaires afin de mieux le mater ?
Le gouvernement n’a pas mieux à faire ? L’avènement au pouvoir de MACKY SALL a été rythmé par des morts. Les morts continuent de s’accumuler sur les routes, dans les campagnes oubliées, dans nos milieux urbains en proie à l’insécurité et au grand banditisme, sur les routes de l’immigration clandestine, au large de notre océan… Certes tous les maux du pays ne lui sont pas totalement imputables. Les précédents régimes n’ont pas été à la hauteur du destin que mérite notre nation. L’HOMOSENEGALENSIS souffre de sa vision court - termiste, n’exprime pas son intelligence avec le cœur mais plutôt pour briser celui de son prochain. Néanmoins, l’amnésie maladive qui caractérise son pouvoir en place nous pousse, tel LAT DIOR NGONE LATYR, à dire NON à la peur qui fait fuir nos jeunes vers des contrées lointaines et suicidaires, à dire NON à l’infantilisation et aux velléités de scission du peuple, à dire NON au torpillage de nos richesses. La pétition nous sert d’arme pour exprimer pacifiquement et élégamment notre colère, notre frustration et notre inquiétude. Elle n’est pas pourvue de valeur juridique, mais revêt un symbole fort et porteur d’espoir. Elle est la manifestation d’un Sénégal qui souhaite mettre sur orbite les prochaines générations. Il est vrai que nous sommes de passage sur notre terre, le SENEGAL. Toutefois il est de notre responsabilité en tant qu’actuels locataires unis et travailleurs de le saturer de soleil vers lequel nos futurs jeunes cœurs tendront. Alors, tel LAT DIOR NGONE LATYR, disons OUI à l’appel de l’honneur qui manque manifestement à nos dirigeants, disons OUI à tout patriote qui sacrifie son souffle pour un Sénégal ensoleillé, disons OUI au retour de nos meilleurs valeurs ancestrales ayant forgé notre destin et tracé droit nos chemins verdoyants de palmiers verts. Le fond est rigide et lourd s’il ne s’appuie pas sur la forme. La forme demeure superficielle et sans intérêt si elle n’épouse pas les contours d’un fond. Le Sénégal est fondamentalement un fond sur lequel nous devons profondément investir sans couture et sans en exclure ou confondre la moindre composante. Voilà le fond du problème !
PAR ALASSANE THIAM
UN AMOUREUX DU SENEGAL
Contribution au TEG, les insuffisances de la loi
À la suite de la brillante contribution d’Ismaël DIOUF, consultant en droit bancaire, sur le vide qui frappe la loi et l’insécurité juridique qu’elle pourrait engendrer dans la pratique, l’ACSIF vient apporter quelques remarques constatées dans cette loi. Cette dernière ne tient pas réellement compte de la pratique, mais elle constitue une avancée dans la relation cliente. Au-delà, la loi sur la redéfinition et la répression de l’usure transposée en droit interne au Sénégal, telle qu’elle est libellée, laisse transparaitre des insuffisances qui fausseraient l’esprit qui a mené à son adoption. En effet, dans la pratique, certaines institutions bancaires conditionnent le prêt à la souscription obligatoire à certains services ou produits.
Ce faisant, si le TEG (Taux Effectif Global) ne prend pas en compte dans le calcul les frais supplémentaires obligatoirement facturés à l’usager, l’estimation du coût réel de l’argent emprunté risquerait d’être faussée. Il urge de souligner que ces services directement ou indirectement liés au prêt contracté de quelque nature qu’ils soient, réputés dans la plupart onéreux, sont à la base du renchérissement de la location de l’argent. C’est ainsi que les frais liés aux mouvements de crédit ou de débit du prêt, les produits comme le paquage ou encore la carte GAB conditionnées à l’accès au prêt, etc., doivent être pris en compte dans le calcul du TEG. Car, ils grèvent et renchérissent le coût de revient de l’argent emprunté.
En réalité, dans la pratique de certaines banques, le client est obligé de souscrire à un certain nombre de services ou produits, sans en exprimer parfois le besoin, pour prétendre bénéficier d’un crédit. Cette réalité pratique engendre souvent le sentiment d’être facturé plus que ce qui est mentionné dans la convention. Cet état de fait doit amener le législateur à clarifier et à intégrer la prise en charge de ces frais dans le calcul du TEG. En effet, ces imprécisions de la loi pourraient induire l’usager en erreur dans ses estimations et évaluations du coût réel de l’emprunt. De plus, ces manquements posent un problème de transparence, de protection et de confiance du client vis-à-vis de l’institution.
Famara Ibrahima Cissé Pdt. ACSIF
Contribution : l'APR va mal à Mbour.
Contribution - Covid 19 : Saly dans le désarroi, vu par un artiste compositeur.
L'heure est grave à Saly je vois un tel post qui dit au Sénégalais d'aller dans les lieux touristiques fréquenter les restaurants comme il le dit ici alors que un exemple très simple hier au Rdc Saly on a embarqué tout un orchestre à l'heure du dîner alors qu'il y avait pas plus de 3 tables occupées , moi y compris j'ai été au poste et les musiciens étaient dans les grilles les pauvres étonné de me voir sur les lieux le commissaire a ordonné qu'on nous relâche et répondre à une convocation ce matin , je pense que ce dernier exécute que ce qu'on lui demande de faire les autorités du tourisme doivent à mon avis intervenir le plus rapidement possible les musiciens on des familles et vivent de leur métier ils ont étaient oubliés par leur ministère de tutelle en ces fêtes de Tabaski qui approchent imaginez leur désemparement les restaurants j'en parle pas zéro couvert avec parfois plus de 30 employés pour certains . Moi en ce qui me concerne avec Africa Lounge Rdc je faisais en temps normal 6 concerts par semaines avec petits et grands artistes depuis 5 mois je suis fermé je pense même pas ouvrir , multipliez 6 groupes par 15 par semaines et toutes les familles derrière l'état n'a rien prévu et pour moi et pour ces pauvres à part les musiciens qui sont à Dakar les grands . Si vous regardez ma page vous constaterez que je travaille avec tous les artistes et musiciens du Sénégal . J'appelle le ministre tu tourisme le ministre de la culture et le ministre de l'intérieur à penser à nous on est des Sénégalais on vie au Sénégal on se bat pour travailler et faire travailler des centaines de Sénégalais dont des musiciens , chanteurs, techniciens de son et lumières , manageurs , serveuses, barmans , agents de sécurité , caissières, Djs on paye la Sodav, perception, infographiste , imprimerie etc........ Dites moi qu'est ce qui mérite plus d'être soutenu que nous ou si l'état du Sénégal veut qu'on se mette une corde autour de la gorge il n'a qu'à nous le dire . Encore une fois je suis fier d'être Sénégalais et crois qu'on peut réussir dans ce pays. Papis ba Musicien producteur !
LETTRE OUVERTE D’UN ELU LOCAL AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, SUR LE LITIGE FONCIER A NDENGLER..
Excellence Monsieur le président de la République,
Pour rappel, le 4 décembre 2012, le Conseil rural de Sindia délibéra sous le n° 05/CRS, sur un terrain de 300 ha, situés dans le village de Djilakh, au profit de la Sédima de Monsieur Babacar Ngom (conf. Acte de délibération).
Excellence Monsieur le président de la République,
Le 23 avril 2015, vous avez signé le décret n° 2015-548 portant déclassement dudit terrain du domaine national de 224 ha 95a et 33ca, pour son attribution par voie de bail.
Par ailleurs, une partie du terrain faisant l’objet d’attribution à la Sedima (75ha), a toujours été exploitée depuis plus d’une centaine d’années par des paysans de Ndengler, de la Commune de Ndiaganiao ; constituant leur unique source de revenu.
Répondant à la Sedima et à ceux qui disent que les terres appartiennent à l’actuelle Commune de Sindia, je dirai, Excellence Monsieur le président de la République, qu’il est de coutume dans nos contrées sérères d’avoir des terres dans d’autres villages voisins et de les cultiver sans aucune difficulté. En plus, ici la délimitation entre les communes de Sindia et de Ndiaganiao dans cette zone pose problème car n’étant pas clairement spécifiée par l’autorité compétente.
Excellence Monsieur le président de la République,
À la lumière de ce qui précède, il est évident que le Conseil rural de Sindia, à l’époque, a commis une erreur qui le rattrape aujourd’hui, en ouvrant pas des concertations avec les propriétaires terriens de Ndengler qui ont toujours exploité ces terres depuis plusieurs générations.
De même, au vu du bail accordé par l’Etat du Sénégal le 16 septembre 2014, qui stipule dans la partie des obligations du preneur « Le preneur devra édifier sur la parcelle louée, un immeuble à usage industriel, dans le délai maximum de trois ans à compter de la date de notification de l’approbation du bail, conformément (aux règles d’urbanisation du secteur) à la destination de la parcelle », Sedima n’a pas de bâtiment à usage industriel dans la partie litigieuse, donc n’est plus propriétaire de ce terrain.
De ce fait, j’ose penser que vous n’avez pas reçu toutes les bonnes informations avant la signature du décret cité plus haut.
Excellence Monsieur le président de la République,
Considérant cette injustice dont ces braves paysans sont victimes ; -des personnes qui n’ont jamais tendu la main à l’Etat, mais qui se démènent comme de beaux diables chaque année, pour cultiver les terres de leurs aïeuls et en assurer la survie à leurs progénitures ;
Je vous prie solennellement, Excellence Monsieur le président de la République ;
En tant que père de la nation, d’intervenir directement dans cette affaire et d’arrêter les agissements de Monsieur Babacar Ngom et sa société, et de retourner à ces vaillants paysans de Ndengler leurs terres, dans un contexte où l’hivernage s’est installé à Ndengler, comme dans la plupart des contrées du pays, afin d’éviter des affrontements dans la zone et une famine.
Tout en espérant un dénouement heureux par votre implication sur cette affaire, recevez, Excellence Monsieur le président de la République, mes salutations déférentes.
Mbour, le 01 juillet 2020
Augustin Hamad Ngom
Conseiller municipal à la Commune de Ndiaganiao
FACE AU COVID19: PAS DE PING-PONG POUR LE MOMENT.
L'avènement du virus Covid 19, au lieu de créer seulement une solidarité indéfectible entre les peuples et les Etats, de raffermir la cohésion nationale et d’aiguiser le patriotisme, est aussi pour certains, une occasion d'achever le concurrent, de conforter son pouvoir ou d'entreprendre de nouvelles conquêtes. Ainsi, non content d'avoir exposé l'humanité au danger en ignorant les alertes répétées de la chine, la première puissance du monde s'est empressée de vouloir isoler la chine pour parachever les négociations économiques et commerciales par lesquelles elle voulait en finir avec la volonté de monter en puissance de l'empire du milieux. Pire encore, le président des USA a annoncé sur fond de souhait la mort de son goulot d'étranglement en l'occurrence le président nord coréen. Aussi, si cela s'avère, il a ignominieusement tenté de renverser le régime vénézuélien.
De son côté, la chine, derrière un humanisme mal déguisé a voulu pénétrer de force tous les marchés y compris ceux que les règles de l'OMC lui interdisaient.
La Russie n'a pas dérogé à la nouvelle règle, elle a finalement percé la forteresse de l'oncle Sam en prétextant une volonté de dégel humanitaire. Cela après avoir fini de miner la cohésion dans le reste de l'union européenne déjà éprouvée par le brexit britannique. D'ailleurs, des soupçons d'espionnage ont été brandis dans certains pays comme l'Italie. En France, ce fût les masques chinois qui ont été pointés du doigt. Certains ont vu dans la mauvaise qualité de ces masques, plus que de la cupidité, une volonté délibérée de propager le virus dans cette Europe mal préparée pour plus l'affaiblir.
Au moyen orient, en Syrie au Yémen comme dans les territoires occupés les impérialistes tels des hyènes ou des charognards à la vue d'une proie affaiblie n'ont pas lésiné sur les moyens et sur les stratégies pour leur expansion.
En Afrique, les vieux démons se sont réveillés avec cette fois un prétexte certes fallacieux, mais impossible à démasquer ou du moins à endiguer. Par exemple en Guinée Conakry le patriarche sous couvert de la pandémie, a forcé sa nouvelle constitution. Au mali des législatives ont été préfabriquées avec l'élimination inhabituelle du principal challenger. Au Sénégal, pour ne parler que de ces quelques pays, un couvre feu plus un état d'urgence et encore une loi d'habilitation qui n'ont finalement pas donné au président le pouvoir escompté, ont été précipités. Toutes ces mesures en apparence et parole prises pour la lutte contre le Covid 19, on le sait peuvent servir à d'autres fins dans l'immédiat ou plus tard. Toujours au Sénégal, l'appel du chef de l'Etat à l'union sacrée de la nation qui avait promis des montagnes a vite accouché d'une souris. L'aide de l'Etat a détourné les attentions et cette négligence a frayé un couloir à la mort. Pire des partis politiques et sensibilités religieuses ont rompu avec fracas le pacte. Depuis lors un ping-pong inopportun s'installe dans le monde.
À notre avis, le Covid 19 ne rendra pas forcément le monde meilleur comme les plus optimistes l’escomptaient. Mais nous disons que ce n'est pas le moment car la pandémie avance à grand pas. Un remède faisant l'unanimité n'est pas trouvé. Ce n'est pas non plus l'occasion car en dehors de leurs caractères immoraux, les pouvoirs, les gains, les profits et toutes les allégeances acquises sur le dos des peuples dans leurs moments de détresses sont incertains.
Au lieu de perdre du temps et de perdre la bataille qui vaille, l'humanité ferait mieux d'arrêter le ping-pong. De même, les loges, les lobbies, les confréries et les partis politiques devraient tempérer leurs ardeurs.
Par Diouldé Boiro,
Professeur de philosophie au lycée Demba Diop de Mbour.
Membre du comité central du PIT /Sénégal.
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CONTRIBUTION : Le marché central de Mbour, symbole de l’échec de l’Institution municipale.
Prenant part à un atelier d’évaluation d’un programme mené par la coopération Luxembourgeoise en 2014, le hasard a voulu que je fusse installé à côté d’un responsable de l’Agence régionale de Développement (ARD) de la région de Thiès. Le monsieur, dans son propos, déplorait les faibles performances de la gestion de la ville au regard de ses potentialités immenses dont dispose Mbour. Devant le réquisitoire dur mais vraisemblable que ce monsieur dressa à l’encontre de la gestion de la ville de Mbour, naquit chez moi une volonté d’observer pour mieux comprendre les interactions à la base de ce cercle vicieux qui plombe l’essor de notre chère ville. Cet essai représente, peut-être, un premier d’une série d’articles qui seront consacrés aux différentes problématiques qui nous interpelleront en tant que mbourois.
La ville de Mbour, de par sa position géographique et ses potentialités jouit d’avantages qui font d’elle l’ombre de ce qu’elle aurait pu être. Mbour jouit d’un prestige qui, s’il se justifiait dans le temps, diffère nettement de la réalité hideuse qui s’impose à l’observation. Les indicateurs de la déchéance de cette grande ville font légion mais dans le cadre de cet article, nous avons choisi d’axer notre analyse sur la problématique que représente ce qui appelé " marché central″.
Le postulat de base de cette réflexion est que les équipes qui se sont relayées à la tête de l’institution municipale ont, peut-être à des degrés variables, péché par manque de vision. La ville de Mbour fait partie des villes qui ont le plus fort dynamisme démographique du Sénégal. Cette réalité, nos maires n’ont jamais su l’appréhender à sa juste dimension. De cette carence résulte le problème multidimensionnel auquel les populations de Mbour sont aujourd’hui confrontées.
Un problème de salubrité et de santé publique
Au-delà de l’image écornée qu’il donne pour une ville hautement touristique, le marché central de Mbour présente un problème criant de salubrité. Ce problème trouve son origine dans la promiscuité qui y sévit. Cette promiscuité ne milite pas en faveur d’un système de ramassage d’ordures, de nettoyage et de désinfection efficient. Cela est d’autant plus vrai que les performances en matière d’hygiène et de salubrité en général de la mairie sont d’une faiblesse navrante. Cela se traduit par l’existence d’un tapis de détritus jonchant le sol composé de légumes en putréfaction, de restes de tissus ou de déchets provenant du traitement du poisson au niveau du port. Le manque d’hygiène est plus frappant en période d’hivernage avec un système d’évacuation des eaux usées quasi-inexistant aggravé par les routes défoncées qui créent un réservoir naturel pour les eaux stagnantes. Ce phénomène favorisant la décomposition des déchets et la prolifération des mouches et des vers interpelle notre sens de l’hygiène, de la salubrité en même temps qu’elle menace la santé des populations qui s’y approvisionnent en denrées alimentaires. En effet, pénétrer dans le marché en période hivernale constitue une épreuve très redoutée des ménagères qui, par manque de voierie adéquate, sont obligées de patauger dans la boue. Tout cela concoure à véhiculer une image repoussante de notre ville qui est aux antipodes de ce que doit être une ville qui se veut la vitrine de la Petite-Côte. En dépit du fait qu’elle est sensée accueillir des touristes, les citoyens doivent avoir cette exigence de salubrité pour leur propre épanouissement. La croissance démographique, le souci de mener des activités génératrices de revenus dans un contexte marqué par la dureté de la conjoncture économique sont à l’origine de la surpopulation du marché.
Un marché surpeuplé et source de potentiels problèmes de sécurité
La surpopulation du marché est à l’origine de la création d’excroissances presque naturelles. En effet, la cantinisation sauvage ainsi que les étalages improvisés ont fini de conquérir ce qui, jadis, constituait le « cœur » de ville de Mbour. Une lecture erronée de ce phénomène pourrait constituer un motif de satisfaction à la mairie eu égard aux rentrées de fonds que représente la taxe payée tant bien que mal par ces vendeurs. Cette lecture de la situation est symptomatique d’un manque de vision, d’un manque d’ambition et d’une gestion du court-terme de la part d’un édile et des conseillers qui cautionneraient une telle démarche. Une telle situation est grandement porteuse de danger. A ce titre, nous pouvons d’abord évoquer le difficile accès au centre de santé de Téfess qui est ceinturé par les commerces de divers acabits avec son corollaire dans le manque de quiétude et de tranquillité qui doivent caractériser une structure hospitalière. L’autre problème lié à la sécurité est représenté par les branchements électriques clandestins qui sont une pratique courante dans nos marchés. Cette pratique étant à l’origine de beaucoup d’incendies, on pourrait légitimement se poser la question de l’existence de bouches d’incendies dans ce marché ou celle de l’accès des véhicules des sapeurs-pompiers, en cas d’urgence, au regard de la promiscuité qui sévit dans les lieux.
L’autre versant du problème de sécurité que posent les excroissances du marché tient dans le fait de sa cohabitation avec un lieu de culte : la paroisse Sainte Marthe. Les nuisances émanant du marché porte gravement atteinte à la liberté de culte de cette frange de la population. Par ailleurs, l’attitude discourtoise de certains marchands pourrait générer des tensions préjudiciables à la paix sociale légendaire qui caractérise notre pays. Un maire normal, en vertu de ses compétences en matière de police municipale, ne devrait pas accepter qu’une telle situation prospère dans la ville dont il préside la destinée. Mais devant cette situation lourde de danger, on peut avoir l’impression d’être dans un navire sans capitaine. Le problème décrit dans le présent paragraphe à la base d’un autre casse-tête relatif au transport intra-urbain.
Une autre dimension problème est relative à la mobilité intra-urbaine
Les équipes municipales qui se sont succédées à la mairie depuis les années 1990 ont rivalisé dans les activités de lotissement de terrains à usage d’habitation, on aurait pu penser que c’était là leur seule compétence. A ce titre, nombre de scandales ont vu le jour (mais cela n’est pas l’objet de notre réflexion), les unes étant plus surréalistes que les autres. Seulement les responsables ont, semble-t-il, oublié de faire dans la prospective. La conséquence est que disposant d’un seul marché à peu près normal, les populations convergent massivement chaque matin vers le centre-ville pour vendre ou s’approvisionner. Cette situation provoque des mouvements pendulaires à l’image des mégalopoles modernes sauf que le système de transport existant laisse sérieusement à désirer. Nous allons passer en revue un certain nombre d’éléments pour étayer nos affirmations. Du point de vue de la voierie, il est de notoriété publique qu’il est de plus en plus difficile de circuler dans Mbour, le peu de routes qui existent sont dans un piteux état. A titre d’illustrations, prenons l’axe qui va du centre santé de Téfess à la route de l’hôpital de Grand-Mbour en passant par le croisement qui mène au Lycée Demba Diop. Prenons encore la bretelle qui relie le centre-ville à la route de Kaolack en passant par le quartier Thiocé. Un autre un fait pour le moins étonnant, du croisement de Saly au commissariat de Mbour, il n’y a aucun passage piéton.
L’autre problème relatif au transport est lié à la multiplication de ce qui est trivialement appelé "garage clandos“ avec les effets secondaires en termes de nuisances sonores et d’insalubrité. La vitalité du marché de Mbour attire de plus en plus de personnes qui habitent les bourgades environnantes. Ce phénomène est à la base du recyclage de véhicules qui ont largement fait leur temps et présentent à l’œil nu une menace pour la sécurité des passagers et des autres usagers de la voie publique posant ainsi le problème de la qualité du parc automobile.
L’arrivée des mini-bus TATA et le programme PROMOVILLE qui verra l’augmentation des linéaires constituent, sans-doute, un soulagement à cette difficulté de taille.
Nécessité de promouvoir un développement urbain équilibré
L’ensemble de ces constats passés en revue dans ce texte appelle des mesures urgentes qui permettront de renverser la tendance et faire de Mbour une ville attrayante beaucoup plus qu’elle ne l’est actuellement. En effet, une chose est de revendiquer toutes les qualités imaginables pour sa ville, mais une autre est de veiller à ce que toutes ses potentialités soient effectivement exploitées pour le bonheur des administrés et le prestige de la cité. Ma conviction est que la ville de Mbour dispose des potentialités requises pour se positionner de façon incontestable dans le peloton de tête des villes prospères et offrant toutes les commodités nécessaires à l’épanouissement de leurs résidents. Toutefois cela sera fonction de la capacité de l’équipe municipale à développer une vision et à bâtir des plans de développement basés sur les potentialités de la ville. Sur cette question, je crains qu’il n’y ait plus grand-chose à attendre du maire et de son équipe. A partir de cet instant, il importe de jeter les bases de la réflexion sur les voies et moyens pour impulser un nouveau leadership à la mesure des défis auxquels notre ville devra faire face si elle veut être présente au rendez-vous des villes avant-gardistes.
Mbour ne sera que ce que le niveau d’exigence de ses résidents dictera à ses élus en général et au maire en particulier.
Adrien Th. B. DIENE
Psychologue-conseiller
Diplômé en sociologie
M.A International development
Chef de la division analyse, stratégie, suivi
Direction de l’Equité sociale
Ministère du Développement Communautaire, de l’Equité sociale et territoriale
On ne va pas tous mourir du COVID 19, et il va bien falloir envisager la sortie de crise.
Difficile d’être enthousiaste dans le contexte d’aujourd’hui mais c’est un virage à négocier et à ne surtout pas rater pour réussir au mieux la sortie de crise.
Presque une ode à la vie !
Par Abdoulaye Cissé
Il va falloir comme tous les autres pays imaginer déjà la sortie de crise. Ce n’est pas très tôt. Mais pour une fois dans cette crise sanitaire nous avons une carte à jouer, et ne pas être attentiste ou tout juste des suivistes de ce qui se fait ailleurs. Il faut bien se rendre compte que personne n’a la vérité, le process infaillible sur la façon d’en sortir demain.
Alors, on n’est surtout pas obligé de reproduire les mêmes modèles en expérimentation.
Il est à regretter, et j’en suis presque jaloux, que cette molécule miracle de l’hydro chloroquine ait été réinventée ailleurs alors que personne ne la connait mieux que nos professionnels de santé qui en avait la prescription facile au point d’en avoir fait gerber tous les trentenaires et plus à la seule évocation des signes de saisons du paludisme.
Si on est d’accord que cette crise sanitaire est un révélateur de tous les talents dont disposent le pays dans le milieu de la santé et de la recherche médicale, c’est là où on les attend les chercheurs et les experts en santé publique. De chercher, et surtout de trouver. S’il le faut avant tout le monde. D’autant que le jeu est ouvert et les dès à la portée de tous.
C’est ce même suivisme qui nous a fait répéter dans le discours officiel que la généralisation du port du masque ne servait à rien.
L’humanité entière est en train de se raviser sur la question.
Et je vois venir la pirouette dans le discours officiel pour nous inciter demain à porter des masques, même de fabrication artisanale.
C’est là que devient intéressant. Plutôt que de reprendre ce que nous avions entendu ailleurs et qui était juste un discours de circonstances, car un gouvernement qui n’a pas fait de stock de masques n’avait aucun intérêt à promouvoir le port du masque pour sa population. Si on était avant-gardiste, on aurait déjà relancé la formidable machine à coudre de nos tailleurs de tous les coins de rues et même des ateliers de nos grands couturiers qui peuvent se reconvertir dans la circonstance.
C’est aussi dommage que nos chercheurs ne développent pas le prototype du bon masque fait maison que nos tailleurs vont répliquer en milliards d’exemplaires.
On peut bien rêver d’être exportateur de masques au 4 coins du monde si tout ceci est encadré. Personne n’imagine sortir du confinement sans la mesure de prudence que chacun se protège et se préserve et préserve l’autre en face avec un masque.
C’est maintenant qu’il faut relancer cette économie, et non demain quand les grandes usines du textile du Bengladesh en Indonésie vont tourner à plein régime pour la terre entière, et l’occident en premier. Nous avons une partition à jouer dans la guerre des masques.
Dans la même perspective, il faut bien que nos chercheurs nous expliquent, et surtout qu’ils trouvent pourquoi nous sommes encore si épargnés : touchons du bois.
On ne va pas se mentir entre nous : ça ne tient pas qu’à notre simple dispositif de riposte. Impossible !
Si ce n’est pas nous qui trouvons l’explication rationnelle qui défiera la science, c’est un petit blanc d’une petite unité de recherche de province là-bas en France, de la Terre-neuve-et-Labrador du Canada ou dans le Delaware aux États-Unis qui viendra nous expliquer pourquoi, pourquoi, pourquoi . . .
Sans croire qu’on a une quelconque forme d’immunité, la preuve la première victime et éternel numéro 1, est un des nôtres, repose en paix Pape Diouf. Éternel winner, même pour mourir, il choisit d’être le premier. Sacré bonhomme.
Ce serait aussi le meilleur hommage à nos morts si on était les premiers à découvrir à quoi tient ce semblant de résilience que nous avons face au COVID 19.
Qui peut croire que c’est le couvre-feu, comme si le virus ne se balade que le soir ?
Qui peut croire que nous sommes disciplinés et respectons à la lettre les consignes des mesures barrières : la fluidité de la circulation est un trompe-l’œil à Dakar. Dans beaucoup de quartiers, rien n’a changé. Notre semblant de résilience au virus, tient peut-être à bien autre chose.
Restons tout de même vigilent, pour ériger encore plus de barrière à la propagation du virus.
Chronique – Abdoulaye Cissé : A chacun d'écrire sa part de l'histoire.
Comme dans chaque grande histoire de l'humanité il y'a des héros et des zéros.
Des zéros pour ne pas dire des contre-modèle qu'il va falloir extirper de l'histoire du Sénégal debout et vaillant face au COVID 19.
A chacun d'écrire sa part de l'histoire.
L'histoire en marche !
On est bien sûr encore loin, très loin même de la fin. Et peut-être que les choses sérieuses n’ont même pas encore commencé mais il y’a d’autres sur lesquels on peut déjà capitaliser. Et ce rapport consolidé ne sort pas de grands esprits des laboratoires de recherches, qui ont matière à chercher mais ne trouveront certainement pas meilleures conclusions à stabiliser.
Il s’agit de ce compatriote lamda, appelons-le Ndiaga Makhtar, qui a le bonheur de redécouvrir son pays sous le prisme de ce que lui proposent les médias, radios et télés qui sont ses meilleurs compagnons pour passer sans encombre cette semaine de confinement.
Ndiaga ne boude pas son plaisir et le crie à longueur de forum de discussions et de commentaires pour donner son avis sur telles ou telles autres émissions.
Ndiaga apostrophe les médias en ces termes : S’il y’a une seule de positive dans cette crise de Coronavirus, c’est de voir combien le Sénégal est riche d’experts, de chercheurs qui trouvent, de médecins, de pharmaciens biologistes, de chimistes, d’épidémiologistes, on en découvre même des paludologues. Et Ndiogou, optimiste comme jamais, qui entrevoit la sortie de crise espère qu’après tout ça la presse va s’évertuer à donner la parole aux sachants plutôt qu’aux troubadours de la petite semaine qui rabaissent le débat et qui font presque ne pas aimer le pays.
Le tableau de la panoplie de l’expertise local aurait été parfait sauf la présence du Dr Samba, ce faux médecin qui a aussi écumé les médias. Heureusement très souvent il n’était invité que sur des plateaux de divertissements et d’émissions récréatives où la légèreté le dispute au farfelue.
Ça n’aurait pas mérité qu’on y revienne sauf que le Mr. Amadou Samba, permettez que je ne l’appelle pas Docteur, est très closed to Friends avec le ministre de la Santé dont il a animé des conférences politiques en tant que médecin, spécialisé en développement industriel du médicament. Avouez que ça la fiche mal pour le boss de la lutte contre le COVID19. D’autant que le bonhomme exerce impunément au moins, au moins depuis 2017 qu’il a croisé le chemin d’un Directeur de recherche à l’IRD qui l’auditionne pour lui confier une mission pour médecin clinicien. Les notions de médecines de « Pappy » (c’est son nom usuel pour ses amis et sa famille) s’arrêtent en 4éme année, le reste est fait de Master par ci, Master par là. Et il avait eu le toupet de menacer de faire fermer l’IRD si jamais on ne lui confiait pas la mission.
Celui-là doit vraiment être sûr de ses amitiés « politiques » pour se croire intouchable. Que ses amis ne nous disent pas qu’ils ne savaient pas, car ce serait encore plus grave. Dire que ce type qui se présente comme spécialiste en développement industriel du médicament était déjà dans la boucle pour le grand projet de l’industrie pharmaceutique fait froid dans le dos. Avec lui, on n’en serait pas à parler d’effets secondaires du médicament : ce type aurait été capable de nous vendre des feuilles de « niimes », à la place de l’hydro chloroquine notre sauveur.
La gravité et l’urgence à faire face à la crise sanitaire ne doivent pas étouffer cette affaire. Ce ne serait pas rendre hommage à tous ces nouveaux visages du Sénégal vaillant derrière le Pr. Seydi, les Dr. Bousso, Aloyse Diouf, Daïté, Sall, Khémesse jusqu’à Daouda Ndiaye pour qui le temps et la gloire semblent s’être arrêtés depuis qu’il avale l’amère saveur de la chloroquine. Je n’oublie pas le Dr. Sokhna, plus proche collaborateur du Dr. Raoult à qui on doit la solution testée au Sénégal aussi.
Dr. Sokhna, réhabilité et fraîchement admis au comité scientifique au cœur de la lutte contre le COVID19 au Sénégal. Ce n’est jamais trop tard pour bien faire.
Je chante nos héros, et j’en ai certainement oublié. Mais à travers eux, toutes les blouches blanches, bleues jusqu’au grises des brancardiers et l’ensemble du personnel sanitaire.
On en oublierait presque qu’on tombe encore malade d’autres choses que le COVID 19 en ce moment au Sénégal.
C’est pour ça que l’appelle du SATS, le syndicat des travailleurs de la Santé sonne presque faux. Le syndicat prévient que les structures de santé vont faire faillite si les malades ne reviennent pas, car depuis quelques semaines, les recettes sont maigres.
On a envie de dire, mais tant mieux que personne ne tombe plus
malade : le COVID 19 nous a rendu la santé.
Ça prête à sourire mais par ces temps, il faut vraiment être malade-malade pour oser aller à l’hôpital.
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Après la mise en place du cadre de concertation multisectoriel de Mbour qui entre dans le... Lire la suite
Promotion de l’emploi des jeunes

Promotion de l'emploi des jeunes. Le Cadre de concertation se penche sur l'élaboration de stratégies locales de... Lire la suite
MBOUR – 30.000m DE LINEAIRE D’ADDITION D’EAU : Cheikh Issa Sall veut respecter une promesse électorale.

Le Maire de la commune de Mbour a lancé un vaste programme de renforcement du réseau... Lire la suite
AIRE MARINE PROTEGEE DE JOAL FADIOUTH : les trafiquants abandonnent une demie tonne de chanvre indien.

Le trafic de drogue est toujours un fléau difficile à éradiquer dans la petite côte. Avec... Lire la suite
SOCIETE – 15% DE LA POPULATION : les handicapés du Sénégal veulent plus de présence dans les instances de décision.

Les handicapés de l'Afrique veulent marquer leur présence dans les sphères de décision politiques afin de... Lire la suite
PECHE – CELEBRATION DE LA JOURNEE MONDIALE DES OCEANS SUR FOND DE CONTESTATIONS : le PAPAS réclame le relèvement de la zone d

La journée mondiale des océans est célébrée à travers le monde depuis 1992 au sortir du... Lire la suite
LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT DES CAPITAUX ET LE FINANCEMENT DU TERRORISME : le Sénégal devenu un bon élève.

La CDEAO, à travers son bras armé le GIABA, fait de la lutte contre le blanchiment... Lire la suite
MEURTRE D’UN JEUNE A MBOUR PAR UN REPRIS DE JUSTICE : la famille de la victime promet de le tuer si l’assassin ressort de la

Encore un meurtre, dira-t-on. Un jeune homme de 26 ans a été assassiné ce mercredi soir... Lire la suite
HABITAT – INDEMNISATION DES IMPACTES DES HLM MARISTES : Macky Sall met sur la table 17,2 milliards.

A la suite de l'exécution du contrat de performance signé avec l'Etat du Sénégal fini en... Lire la suite
MEDINATOUL SALAM – THIANTE INTERDIT A THIES FINALEMENT ORGANISE CHEZ ELLE : Sokhna Aida Diallo reçoit 1 milliard de ses talib

Sokhna Aida Diallo a finalement tenu le Thiante dont l'organisation a été interdite à la dernière... Lire la suite
PROMISCUITE, MANQUE DE PERSONNEL, INSUFFISANCE DES LITS, MANQUE DE MATERIELS (…) : Le chapelet de problèmes du service d’urge

Il y a quelques mois par le passé que l'hôpital de Grand Mbour a été baptisé... Lire la suite
SECURITE – TRANSPORT – MOBILITE URBAINE : le Maire de Mbour veut couper le mal à la racine.

Le transport, la mobilité urbaine et la sécurité font partie des points névralgiques de la commune... Lire la suite
MIGRATION IRREGULIERE : Mbour et Kédougou les deux plaques tournantes du trafic de migrants.

La lutte contre le trafic de migrants est une problématique complexe pour les autorités policières et... Lire la suite
MEDIA ET SCIENCES : le réseau Théophraste note l’urgence d’avoir des journalistes scientifiques.

Le réseau Théophraste a ouvert son colloque international hier à Saly Portudal. L’occasion a été saisie... Lire la suite
POLE URBAIN DAGA-KHOLPA : Abdoulaye Sow engage la discussion avec les populations impactées.

Le pôle urbain Daga-Kholpa a fait l’objet de plusieurs manifestations des jeunes des villages impactés. Depuis... Lire la suite
DGID : pour mieux assister la hiérarchie dans sa mission, les agents de la DGID veulent plus d’implication dans les décisions

L’Amicale des Agents d’Assiettes des Impôts et Domaines veut jouer pleinement son rôle dans la mission... Lire la suite
SECURITE – TRESORS : les travailleurs du trésor réclament plus de sécurité dans l’exercice de leur fonction.

Ces dernier temps, beaucoup de cas d’agression ou de meurtre sont notés à travers le pays.... Lire la suite
DIASS – INAUGURATION D’UNE CENTRALE SOLAIRE PHOTOVOLTAIQUE : la SENELEC élargit son réseau avec 33.000 ménages de plus.

Le Président Macky Sall a procédé hier à l’inauguration de la centrale solaire de Malicounda. Un... Lire la suite
ECONOMIE – ARTISANAT : l’APDA fait son bilan d’étape et se projette sur les 5 prochaines années.

L’APDA (Agence pour la Promotion et le Développement dde l’Artisanat) a été créée par le décret... Lire la suite
HAUSSE DE LA PRODUCTIVITE AGRICOLE : un tracteur hydraulique mis au point par DAUST.

L’agriculture sénégalaise reste toujours à faire des efforts pour devenir compétitive. Pour y arriver, un certain... Lire la suite
CULTURE - PEOPLE
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Coronavirus - Les conséquences du confinement. À Mbour, Le secteur informel se résigne et prêche en faveur des recommandations.

La propagation du Covid 19 dans le Sénégal continue son petit bonhomme de chemin. Cette situation... Lire la suite
CULTURE – DISTRIBUTION DES RECETTES DE LA SODAV : « Depuis 2004, je n’ai reçu que 8000f » ; le cri de cœur de Mame J Ras Soul

La SODAV (Société Sénégalaise des Droits d’Auteur et Droits Voisins) a été mise en place depuis... Lire la suite
SOCIETE : Macky Sall offre 5 millions aux Kankourangs de Mbour.

C’est une enveloppe de 5 millions que le Ministre des Infrastructures, des Transports Terrestres et du... Lire la suite
ARRET SUR IMAGES
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DEVELOPPEMENT LOCAL
Parole aux Mbourois

Contribution : Lettre ouverte au Ministre de l'int
Lettre ouverte au Ministre de l'intérieur / Kankourang de Mbour: Allaamouta ! Cher monsieur le ministre, Pour l'harmonie des...
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CONTRIBUTION – AFFAIRE OUSMANE SONKO/ADJI SARR : L
Durant toute mon éducation familiale et tout mon cursus scolaire, notamment en littérature, on m’a...
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Le coronavirus pourrait ne jamais disparaître, sel
"Nous avons un nouveau virus qui pénètre la population humaine pour la première fois et il...
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COVID 19 - EDUCATION : Prévue initialement le 02 j
L’information est tombée dans le journal de 23h de la télévision nationale ce 01 juin, à...
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MBOUR - Une ouverture des classes hypothétique : l
« L'heure est grave, notre pays est en danger. Vous devez pouvoir lire le malaise des acteurs....
Lire la suiteLES NTIC CHEZ VOUS

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Pour rappel, un IDE ( Integrated Development Environment ou Environnement de développement ) regroupe un ensemble...
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