La Palestine salue la réélection du Sénégal à la présidence du Comité pour l’exercice des droits du peuple palestinien
Mercredi, 15 Octobre 2014 21:59
L’ambassade l’Etat de Palestine au Sénégal salue, dans un communiqué transmis à l’APS mercredi, ‘’la réélection du Sénégal à la présidence du Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien’’.
''La reconduction du Sénégal à la tête de cet organe des Nations Unies vient confirmer non seulement le rôle historique et stratégique du Sénégal dans la défense des droits légitimes du peuple palestinien frère soumis à une odieuse occupation coloniale israélienne’’, souligne la représentation diplomatique.
Elle traduit aussi ‘’l’engagement du Sénégal, pour la libération et l’autodétermination des peuples, la justice, les droits de l’homme et les libertés dans le monde’’, selon le communiqué.
L’ambassade ‘’rappelle que cette réélection intervient à l’heure où les défis concernant l’avenir du peuple palestinien, ainsi que celui des peuples du Moyen-Orient et d’Afrique sont nombreux’’.
‘’C’est aussi le moment où nous assistons à la poursuite et l’intensification de la colonisation israélienne en Palestine au détriment de la paix et d’une solution à deux Etats (…)’’, ajoute t-elle.
L’ambassade l’Etat de Palestine au Sénégal ‘’félicite, le peuple frère du Sénégal et son gouvernement (...) pour cette reconduction à la tête de cette commission dont le travail est d’une grande valeur pour notre peuple et sa direction’’.
Le Sénégal a été réélu à la présidence du Comité pour l’exercice des Droits inaliénables du Peuple palestinien lors de sa 364-ème séance tenue récemment à New York, a annoncé mardi le ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur.
‘’Présentée par la Namibie et le Nicaragua, la candidature du Sénégal a été approuvée par acclamation’’, selon le communiqué transmis à l’APS, rappelant que ‘’notre pays dirige ce Comité depuis sa création en 1975’’.
La reconduction du Sénégal à la tête de cet organe de l’ONU ‘’consacre, une fois de plus, les efforts des plus Hautes Autorités sénégalaises en faveur de la cause palestinienne, de la défense des droits et liberté des populations palestiniennes ainsi que le rôle important d’avant-garde qu’il joue dans le cadre de la promotion des Droits de l’Homme en général’’.
Selon le ministère, ‘’cette reconduction confirme, enfin, la confiance renouvelée que la Communauté internationale place dans le professionnalisme et le dynamisme de la diplomatie sénégalaise’’.
APS
ANNULATION D’UNE DELIBERATION DE 378 HECTARES AU PROFIT D’UNE SOCIETE PAR LA COUR SUPREME : la population de Guéreo crie victoire.
Mardi, 22 Décembre 2020 16:32Le Conseil Rural de Sindia avait, en son temps, octroyé 378 hectares de terres à la société Architecture Aménagement Durable (AAD) au grand dam des populations qui depuis lors ont mené une lutte acharnée pour recouvrer leurs terres. C’est ce mois que la cour suprême a cassé cette attribution pour restituer aux populations leurs. Ces derniers crient victoire et demandent que les autres problèmes fonciers de la zone connaissent le même sort.
C’est par la notification de l’arrêt numéro 39/2020 en références aux J/347/19, que la cour suprême, suite à son audience publique ordinaire du jeudi 26 novembre 2020, a rendu la victoire aux populations de Guéreo concernant le litige foncier qui les opposait à la société AAD du sieur Pascal Versiglioni.
Le litige en question remonte de 2012. En effet, par la délibération du 2 février 2012, approuvée le 2 octobre 2012 par le Sous-préfet de Sindia, le Conseil rural de Sindia a procédé aux affectations d’un terrain du domaine national sis à Guéreo dans le projet d'aménagement des collines de Guéreo d'une superficie de 118 ha 98 a et 49ca, pour une zone agricole, d’un terrain du d'une superficie de 140 ha au projet immobilier, d’un terrain d 'une superficie de 35 ha, à la population pour renforcer le tissu économique, d’un terrain d'une superficie de 85 ha, à la zone espace vert naturel aménagé. A cet effet, le CR de Sindia avait notifié à la société AAD la décision d'attribution d'un terrain de 378 ha du plan de lotissement des Collines de Guéreo. C’est ainsi que AAD s’est vu attribuer un terrain qui couvre une superficie globale de 378 ha 98a 49ca au détriment de la population du village. Dans ce cadre, une requête fut introduite par des habitants du village qui prétendent être attributaires dans le même périmètre du projet, de terrains à usage d'habitation et à usage agricole de plusieurs hectares, soutiennent n'avoir jamais reçu signification de leur désaffectation et qu’ils estiment avoir été mis au courant par une correspondance du Directeur des Domaines par laquelle il répondait à une demande de régularisation par voie de bail au profit de la structure AAD.
Dès lors, la cour suprême considère qu’à l'appui de leur recours, les requérants ont soulève trois moyens tirés de la violation de la loi. « Sur le premier moyen tiré de la violation de l’article 9 du décret n°72-1288 du 27 octobre 1972 relatif aux conditions d'affectation et de désaffectation des terres du Domaine national comprises dans les communautés rurales en ce qu'ils n'ont reçu aucune mise en demeure », lit-on dans le document de notification. Et sans qu'il soit besoin de statuer sur les autres moyens, la cour rappelle que selon ce texte, la désaffectation totale ou partielle des terres du domaine national comprises dans les communautés rurales peut être prononcée à tout moment, soit à la demande de l'affectataire, soit d'office si un an après une mise en demeure restée sans effet, s'il est constaté par le Président du conseil rural un mauvais entretien manifeste des terres par l'affectataire au moment des travaux saisonniers habituels, une insuffisance de la mise en valeur ou une inobservation répétée et grave des règles fixées en matière d'utilisation des terres, soit d'office si l’affectataire cesse d'exploiter personnellement ou avec l'aide de sa famille. Dans la même dynamique, la cour suprême, dans ses considérations générales indique également qu'en l’espèce, le procès-verbal de transport sur les lieux, effectué par les membres de la chambre administrative, fait ressortir que Mamadou Mourtalla Ka bénéficie depuis 2012, d'un bail sur le terrain objet de la délibération attaquée. Considérant qu'il résulte de la lettre du 27 juillet 2018 du Chef du Bureau du cadastre adressée au chef du Bureau des Domaines de Mbour que le terrain litigieux fait l'objet de plusieurs occupations en dur notamment, cinquante-sept (57) NICADS délivrés dont neuf (9) demandes de bail instruites par le Cadastre et l'assiette englobe le titre foncier n°2735fMB occupé par Mamadou Mourtalla Ka, et qu’il ne résulte pas de l’analyse des pièces du dossier que le conseil rural a mis en demeure les requérants avant de procéder a la désaffectation et à la réaffectation a la société AAD, la cour suprême « annule la délibération n°2/CRS du 2 février 2012 du conseil rural de Sindia approuvée le 2 octobre 2012· par le Sous-préfet de Sindia portant attribution de 378 ha du plan de lotissement des Collines de Guéreo à la structure dénommée Architecture et Aménagement Durable en abrégé AAD », renseigne le document.
Cette décision de la cour suprême suffit pour mettre la population de Guéreo dans une joie totale. Faisant face à la presse hier, pour exprimer leur satisfaction devant cette annulation, les populations du village ont réitéré leur foi en la justice de leur pays. « La population de Guéreo est très contente. Aujourd'hui, c'est une grande victoire pour la population. Nous avons eu gain de cause et c'est une décision historique de la cour suprême qui, aujourd'hui à restitué aux paysans de cette zone leurs terres de culture. C'est une jurisprudence et c'est très important car la justice a pleinement joué son rôle en appuyant les habitants, les pauvres paysans qui n'avaient pas de secours. Aujourd'hui nous avons confiance en notre justice », a magnifié Youssoupha Ndione, porte-parole de la population. A en croire le Président du Mouvement Guéreo Emergent, « cela devrait pousser les élus locaux à revoir leur façon de faire dans la commune de Sindia. D’ailleurs, le Président de la République son excellence Monsieur Macky Sall, a toujours mis en garde les élus locaux contre ces problèmes de foncier et nous espérons que les autres problèmes que nous avons dans la commune de Sindia se verront traités de la sorte », a réclamé par la même occasion Youssoupha Ndione. « En tout cas, la population de Guereo est contente parce que ça était vraiment une bataille pour tout le monde et nous avons eu satisfaction à ce problème. Donc, aujourd'hui, nous demandons aux autorités de revoir la réforme foncière pour éviter ces difficultés que les paysans sont en train de vivre dans leurs localités », insiste-t-il. Allant dans le même sillage, Youssoupha Ndione de lister les autres litiges foncier en suspens dans la zone et qui attendent encore des décisions similaires à celle de la cour suprême. « Je peux citer par exemple le cas de Décameron ici à Guereo. Il y a également le problème foncier qui oppose les habitants de Kignabour à Charles Hadad. Le problème de Ndombo, concernant beaucoup d'hectares qu'on a affectés à la Fondation Sonatel. Et là également, à côté du village on a une localité qui s'appelle Ngorya, ce sont des champs que les gens veulent prendre aux populations », laisse-t-il entendre. Avant de préciser : « il y a tellement de difficultés au niveau de la commune de Sindia concernant ces problèmes fonciers. Et vraiment la justice a montré une fois de plus son empreinte dans cette affaire qui opposait toute la population de Guéreo à la société AAD du sieur Pascal. Pour certains de ces problèmes, il y a déjà une procédure judiciaire pour que justice soit faite », informe M. Ndione.
‘’Le Joola’’ : les juges d'instruction français ordonnent un non-lieu
Mardi, 28 Octobre 2014 22:39Les juges d'instruction français qui enquêtent sur le naufrage du bateau Le Joola, ont ordonné, mardi, un non-lieu, suivant ainsi les réquisitions du parquet d'Evry, rapportent des sources médiatiques françaises.
Les mêmes sources précisent que les juges ‘’ont pris cette décision +en raison des dispositions internationales+ qui les empêchent d'engager des poursuites en France pour ce drame survenu au large de la Gambie’’.
L’enquête sur les causes techniques et les défaillances humaines fait ressortir de ‘’multiples causes’’ dont un ‘’chargement aberrant, l'effet inclinant du vent et du roulis, l'absence de fermeture des hublots’’, des ‘’carences dans le dispositif des secours’’, ainsi qu'une ‘’série de dix-neuf violations aux règles régissant la tenue du navire’’.
Cependant, les juges ont conclu à ‘’l'impossibilité d'engager des poursuites pénales contre les éventuels responsables en raison des dispositions internationales applicables’’ à cette catastrophe.
Le bateau "Le Joola’’, qui assurait la desserte maritime Dakar-Ziguinchor, avait coulé dans la nuit du 26 au 27 septembre 2002 au large des côtes gambiennes, avec à son bord près de 2.000 passagers au lieu des 550 autorisés.
Le bilan officiel de l’accident fait état de 1.863 morts dont 22 Français et seulement 63 rescapés.
La justice sénégalaise a considéré que l’action judiciaire était éteinte avec la mort du commandant du ferry, au grand dam de certains représentants des victimes.
En janvier 2010, la justice française a annulé les mandats d’arrêt visant Mame Madior Boye et Youba Sambou, premier ministre et ministre des forces armées au moment du naufrage du bateau "Le Joola".
APS
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Jeudi, 03 Avril 2014 16:23Votre mensuel "MBOUR INFO" dans vos kiosques le 04 AVRIL !
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ME KHADY SOSSEH NIANG, NOTAIRE « La profession de Notaire est très mal connue au Sénégal »
Samedi, 10 Janvier 2015 17:11
Dans cette interview exclusive accordée à Mbour Info, la notaire Khady Sosseh Niang nous conduit dans les arcanes de sa profession. Elle a mis à profit cet entretien pour revenir sur les grandes questions qui interpellent le notariat, une profession méconnue et qui gagnerait à être très connue des Sénégalais.
Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
ME KHADY SOSSEH NIANG, NOTAIRE :Je suis Maître Khady Sosseh Niang, Notaire titulaire de la Charge de Thiès IV avec résidence à Mbour. Après une maîtrise en Droit à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar et un stage en l’Étude de Maître Daniel Sédar Senghor (actuel SCP Daniel Sédar Senghor et Jean-Paul Sarr) de 1992 à 1999. J’ai été nommée Notaire titulaire de la Charge de Kaolack II en 1999, puis à la Charge de Thiès II nouvellement créée en 2003.
À quoi se résume le travail d’un notaire ?
La profession de notaire au Sénégal, est organisée par le décret N° 2002-1032 du 15 octobre 2002, modifiant le décret n° 79-1029 du 5 novembre 1979 fixant le statut des notaires, et le décret N° 2009-328 du 8 avril 2009, abrogeant et modifiant certaines dispositions du décret n° 2002-1032 du 15 octobre 2002 fixant le statut des notaires. Le Notaire est un Officier ministériel et public, institué pour recevoir les actes et contrats auxquels les parties veulent ou doivent donner le caractère de l’authenticité attaché aux actes de l’autorité publique pour en assurer la date, en conserver le dépôt, et en délivrer des grosses, expéditions et extraits. À ce titre, il confère aux actes qu’il reçoit, une force probante, et parfois, une force exécutoire.
Délégataire de l’État du service public de l’authenticité, le notaire exerce sa fonction sous un statut libéral. Il assure également la conservation des actes qu’il reçoit après y avoir apposé le sceau de l’Etat dont il est détenteur, en tant qu’Officier public investi d’une mission de service public.
Dans les actes les plus importants de la vie individuelle ou de la vie des affaires, le recours à un Notaire permet de sécuriser les rapports juridiques entre les personnes et de garantir la valeur des transactions réalisées.
Les actes dressés par un notaire, conformément aux conditions de forme et de compétence requises par la loi, sont appelés des « actes authentiques ». Leur contenu ne peut être remis en cause, sauf par la procédure de l’inscription de faux (en vertu des articles17 et 18 du COCC).
Quelles sont aujourd’hui les grandes questions qui interpellent votre profession ?
Le problème le plus saillant est, à mon avis, la méconnaissance d’une bonne partie de la population de cette institution qu’est le Notariat (garant nécessaire à la paix sociale et à la sécurité juridique). Le recours à un notaire garantit la valeur des transactions et leur assure une justice préventive de proximité. Le notaire est un conseil privilégié des parties dans la mesure où il est impartial.
Et notre champ d’intervention est très vaste. Nous intervenons dans tous les domaines, notamment les transactions immobilières, le Droit du crédit, le Droit de la famille, le Droit du commerce et des Sociétés, les Actes divers. Bref, dans le respect de l’ordre public et de la légalité, le notaire reçoit tous les actes de la vie et de la mort des hommes et des sociétés. Il est le conseil des familles et de l’entreprise.
Le département tend vers l’émergence, avec les perspectives économiques qui s’annoncent. Cela engendre aussi des tensions notamment sur le foncier. Quelles sont les possibilités, sur le plan juridique, qui s’offrent aux populations pour sécuriser leurs terres ?
La réponse à cette question est à chercher dans les dispositions de l’article 15 de la Constitution qui garantit le droit de propriété. Qu’il s’agisse de l’exercice du droit de propriété ou de la possession de la terre, il existe un arsenal juridique (loi sur le Domaine national, Code des Obligations civiles et commerciales, Code du Domaine de l’État, la loi relative à l’Expropriation pour cause d’utilité publique et aux autres opérations foncières d’utilité publique et la loi portant Régime de la Propriété foncière…) et institutionnel (administration, notaire, justice) assez important pour accompagner les propriétaires et les détenteurs des terres en conformité avec les textes qui régissent ces biens selon leur nature juridique.
Depuis quelles années, l’État du Sénégal, par le biais des Services des Domaines de Mbour, a initié un vaste programme d’immatriculation des terres de la zone dans son domaine privé (Mbour, Saly, Ngaparou, Gandigal, etc.). Une magnifique opportunité est ainsi donnée aux populations détentrices de titres sur cette zone, d’introduire au niveau des Domaines une demande pour l’obtention d’un bail (droit réel inscrit au Livre foncier, et permettant à son titulaire d’obtenir plus facilement des financements bancaires pour leurs activités). Et enfin la possibilité d’obtenir un Titre foncier après mise en valeur, en demandant à l’État du Sénégal une Cession définitive (transformation du bail en titre foncier).
On prête aux notaires de rouler sur de l’or. Vue de l’esprit ou réalité ?
Vue de l’esprit, évidemment ! Vous savez, la profession de notaire est très mal connue au Sénégal. Ceux qui disent que les Notaires roulent sur l’or ignorent que le notaire assure une mission de service public et à ce titre, les tarifs des notaires sont fixés par un Décret, au même titre que les huissiers, avocats, etc. À ce titre, nous ne pouvons ni diminuer ni augmenter nos tarifs. Toutes remises, ristournes ou autres manœuvres de rabattage sont formellement interdites au notaire. Tout comme, ils ignorent que le notaire est aussi un percepteur d’impôts et que la plus importante partie des frais qu’il réclame à ses clients est reversée à l’Administration, pour les besoins de l’enregistrement, des Droits de timbre, de la mutation et de la Tva de leurs actes.
Par exemple, si vous prenez une vente dont le prix est de vingt millions de francs (20.000.000 FCFA), vous allez verser au notaire la somme de 3.350.000 FCFA au titre des frais, mais il faut savoir que sur ce montant la somme de 2.414.160 FCFA est reversée par le notaire aux services des impôts au titre des droits d’enregistrement, de mutation, de timbre et de Tva. Le notaire perçoit en net, après paiement de l’impôt sur le revenu, la somme de 374.800 FCFA. Toutefois, « nio ngui sante yàlla » (nous rendons grâce à Dieu, NDLR).
La ville de Saly où se trouvent vos locaux a perdu de sa superbe en tant station balnéaire. En tant qu’actrice de développement est-ce que vous percevez cette morosité ?
Il est vrai que Saly est un peu morose, cependant, avec les infrastructures en construction dans la zone et la volonté de l’État de booster le secteur du tourisme, j’ai espoir que le meilleur reste à venir.
Votre dernier mot
Je vous remercie de l’opportunité qui m’a été donnée de parler de ma profession, et lance un appel appuyé aux populations pour qu’elles se rapprochent des notaires, car comme le dit l’adage « on ne supplée jamais sans risque à l’intervention du notaire ». Je souhaite d’avance un joyeux Noël à toutes et à tous, et une bonne et heureuse année 2015 à tous les lecteurs de Mbour Infos.
Pêche INN : le Sénégal perd 150 milliards de FCFA par an
Mercredi, 19 Novembre 2014 21:26La pêche illégale, non déclarée et non réglementée (pêche INN) fait perdre au Sénégal 150 milliards de FCFA, indique un communiqué de l’Institut d’études de sécurité (ISS), transmis à l’APS.
Ce chiffre a été rendu public à la suite du séminaire sur la pêche au Sénégal, qui s'est tenu mardi à l'ISS de Dakar et qui a réuni les principales structures chargées de la pêche pour parler de ‘’cet important secteur socio-économique, malheureusement confronté à un certain nombre de défis majeurs’’.
La rencontre a enregistré la participation de la Direction des pêches maritimes, de la Direction de la protection et de la surveillance des pêches et de la Haute autorité chargée de la coordination de la sécurité maritime, de la sûreté maritime et de la protection de l'environnement.
Il est ressorti de cette rencontre que ‘’la moyenne des captures de poissons au Sénégal tourne autour de 427 000 tonnes dont 385 000 tonnes pour la pêche artisanale''.
Le secteur ''contribue pour 2% au PIB national, 12% du PIB du secteur primaire (segment de la production)’’.
Près de 120 navires industriels et 18 500 pirogues de pêche artisanale exploitent les eaux sénégalaises, souligne la même source qui ajoute que ‘’la valeur commerciale des exportations de la production halieutique du Sénégal est estimée en 2011 à 243, 01 milliards’’ FCFA.
En outre, ‘’la moyenne de la consommation sénégalaise de poisson est de 26 kilogramme par habitant pour une moyenne mondiale de 16 kilogramme par habitant’’.
Le communiqué relève une surexploitation de la ressource, des conflits entre pêcheurs artisanaux et pêcheurs industriels, mais aussi ‘’une controverse autour des avantages liés aux accords de pêche signés entre l’Etat sénégalais et l'Union européenne’’.
Selon le texte, le séminaire avait comme objectif de ‘’renforcer la prise de conscience des acteurs concernés sur les défis du secteur de la pêche au Sénégal et proposer des solutions’’.
Il s'agissait aussi d'‘’affirmer le rôle de l’Institut d’études de sécurité (ISS) comme partenaire important dans la recherche de solutions dans le secteur maritime en vue de la consolidation de la paix’’.
APS
Sécurité maritime : Oumar Guèye annonce une campagne nationale à partir du 16 décembre
Dimanche, 30 Novembre 2014 22:15Le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime a annoncé dimanche à Dakar, le lancement, le 16 décembre prochain, d’une campagne nationale de sensibilisation et d’information sur la sécurité en mer.
"Doté dune façade maritime de près de 700 kilomètres, le Sénégal attache une importance cruciale aux questions de sécurité et de sûreté maritime, c’est dans ce cadre que sera lancée le 16 décembre prochain, une campagne nationale de sensibilisation et d’information sur la sécurité en mer", a-t-il dit.
Oumar Guèye représentait le chef du gouvernement sénégalais Mahammed Boun Abdallah Dionne à la visite que présence du Premier ministre du Royaume de Belgique Charles Michel effectuait au Centre principal des secours maritimes de Dakar (MRCC), financé par le gouvernement belge à hauteur de 4 millions d'euros, soit 2,263 milliards de francs CFa.
Selon le ministre de la Pêche et de l'Economie maritime, à travers ce prêt concessionnel, la partie belge contribue a la matérialisation de la volonté du gouvernement du Sénégal de renforcer son dispositif de sécurité maritime.
"La mise en oeuvre prochaine de ces équipements de dernière génération qui font partie intégrante de ce qui est convenu de dénommer système national de sécurité maritime (SNSM), permettra à l’Etat du Sénégal de satisfaire (à ses engagements) découlant des conventions maritimes internationales pertinentes notamment en matière de recherche et de sauvetage maritime (SAR-sigle anglais)", a-t-il soutenu.
Selon lui, ces équipements permettront d’optimiser la surveillance maritime grâce aux capteurs radar satellitaires et électro-optiques qui sont des composantes essentielles du système national de sécurité maritime.
''Dans un contexte de risque et de menace multiforme qui n'épargne aucun pays côtier, ce centre impactera positivement sur le dispositif de sécurité et de sûreté maritime dans les zones de souveraineté et juridiction nationales'', a poursuivi le ministre.
Il a en outre rappelé qu'un plan d’action de lutte contre la pêche illégale non déclaré et non réglementé (pêche INN) a été élaboré et validé en décembre 2013, d'un coût global est d’environ 52 milliards de FCFA dont le financement n'est pas encore bouclé.
APS
Reprise des délestages : Me Youm parle de ‘’phase transitoire’’
Vendredi, 24 Octobre 2014 16:50En marge d’un atelier à Saly ,hier, le ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l'Aménagement du territoire, Me El Hadji Omar Youm, s’est prononcé sur les délestages qui ont refait surface. Pour le porte -parole du gouvernement, la chaleur et la vétusté des installations de la Senelec ne sont pas étrangères à cette situation.
Les Sénégalais vivent à nouveau la psychose des délestages. En effet, depuis quelques jours, l’électricité est devenue un luxe dans ce pays. Le porte- parole du gouvernement, Me El Hadji Omar Youm , croit savoir les raisons de cette situation que les populations supportent difficilement.
« En période de chaleur et d’hivernage, souvent le réseau de la Sénélec, qui est relativement vétuste avec la demande en énergie qui augmente, il est évident qu’on peut atteindre des piques qui peuvent expliquer des délestages dans certaines communes ou des quartiers. Tout cela, il faut le mettre dans la logique et comprendre que le Sénégal est en train de faire un grand effort de moderniser de notre secteur énergétique par une politique de mixte énergie qui est connue », déclare le ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l'Aménagement du territoire, Me El Hadji Omar Youm.
Pour le porte-parole du gouvernement, les Sénégalais verront le bout du tunnel une fois que cette phase transitoire sera terminée.
« Nous sommes en train de construire la centrale à charbon de Sendou qui doit être en service en novembre 2015. Il y a aussi la centrale solaire de Taïba Ndiaye qui aura une capacité de 125 MGW. Si on parvient à avoir un niveau de production d’énergie assez satisfaisant, la demande pourrait être prise en charge et les délestages pourraient être un vieux souvenir... », soutient Me Youm. Qui ajoute : « Nous ne contestons pas cette recrudescence des délestages, nous les constatons avec les populations. Mais, ceci peut s’expliquer dans une phase de refondation et rénovation de notre politique énergétique. Nous sommes dans une phase transitoire mais nous apporterons des solutions les plus appropriées ».
Alassane Diallo
Université d’été de la COJER : Macky Sall flétrit l’arrogance des Sénégalais
Lundi, 27 Octobre 2014 15:57S’il y a un sentiment que répugne le chef de l’Etat c’est bien l’arrogance. Et la tribune de la troisième édition de l’université républicaine organisée par la Convergence des jeunesses républicaines (COJER) a été mise à profit par le patron de l’APR pour fustiger cette attitude chez certains Sénégalais.
« La jeunesse politique doit faire preuve de discipline et d’unité. IL faut accepter d’être commander. Au Sénégal il y a une maladie qui s’appelle l’arrogance. Chacun hausse les épaules. Soyons humbles surtout les jeunes. L’humilité c’est une valeur sûre pour ceux qui veulent réussir dans la vie », a martelé Macky Sall.
Dans le même sillage, le chef de l’Etat a tancé également les responsables de l’APR qui trainent ces tares qui ne sont pas compatibles avec le statut de leader.
« Ceci est aussi valable aux adultes du parti. N’oublions pas que nous avons promis aux Sénégalais une gestion sobre et vertueuse. Le 25 mars 2012 les Sénégalais ont sanctionné l’arrogance c’est pourquoi j’invite les responsables du parti à faire preuve d’humilité et de discipline et à respecter notre engagement. Il faut que nous soyons accessibles. En venant à Mbodiène, des jeunes m’ont interpellé à Mbour pour me dire que leurs responsables ne les considéraient pas. Je ne sais si c’est vrai ou pas. Mais il faut éviter cela en instaurant le dialogue entre jeunes et adultes du parti », ajoute-il.
Elimination du paludisme d’ici 2018: le Sénégal sur la bonne voie
Lundi, 27 Avril 2015 09:19
L’élimination du paludisme d’ici 2018 au Sénégal est bien de l’ordre du possible si l’on sefie aux propos coordonnateur du Programme national de lutte contre le paludisme, docteur Mady Ba, rapportés par l’APS.
Selon Dr Ba, cet optimisme est justifié par le taux de morbidité qu’a le Sénégal.
''Pour cela, il faut travailler à ce que la transmission baisse et qu’on n’ait plus ni de cas de paludisme, ni de cas de décès dû au paludisme, et cela est possible’’ a-t-il dit en marge d’une leçon sur le paludisme donnée à l’Ecole Joseph Gomis de Fann.
Il a souligné que le cadre stratégique 2014-2018 du PNLP a deux grands objectifs, notamment de réduire la morbidité jusqu’à atteindre le seuil de l’élimination, mais aussi d’agir sur la mortalité et faire en sorte qu’elle puisse baisser de 75 % par rapport à la situation de 2014.
''En 2014 nous avons eu 500 cas de décès au niveau de nos structures, alors qu’il y a 5 ans, nous étions à plus de 5000 cas de décès. Ce qui fait que l’espoir est permis de pouvoir infléchir cette tendance à zéro cas de décès'', a fait observer Mady Ba.
Le PNLP prévoit d’organiser en 2016 une grande campagne de distribution de Moustiquaire imprégnée à longue durée d’action (MILDA) sur l’ensemble du territoire national, a t-il annoncé.
''C’est une première par la stratégie que nous allons mettre en place parce que c’est l’ensemble du territoire qui sera couverte pour rejoindre la couverture universelle qui est de vigueur depuis 2010 et qui se faisait de façon séquentielle ce qui a permis de couvrir le territoire en 3 ans’’ a expliqué le médecin.
Le coordonnateur du PNLP souligne que la campagne de distribution de 2016 se fera en une seule année. Il a indiqué c’est cela tout l’enjeu. ‘’Cela requiert de la logistique, une mobilisation de l’ensemble des acteurs pour la réussir’’ a-t-il dit.
''Nos besoins en MILDA s’élèvent à 8.200.000. Grâce à l’Etat et à certains partenaires nous avons pu mobiliser 7.200.000 MILDA et nous avons un gap de 1.000.000 que nous pensons pouvoir combler’’ précise-t-il.
Il a lancé un appel au secteur privé local pour, qu’avec ''l’engagement de tous, les besoins en moustiquaires imprégnés à longue durée d’action puissent être couverts pour préserver du paludisme les populations sénégalaises''.
Avec Aps
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IRENE MINGASSON SUR LES ACCORDS DE PECHE AVEC L’UE : « Certaines dimensions doivent être clarifiées pour rassurer ».

Les accords de pêche entre le Sénégal et l’UE restent toujours dans le flou total dans... Lire la suite
MBOUR : Interdit d’accéder au quai de pêche, Bougane Gueye crache le feu.

Venu à Mbour ce samedi pour rencontrer les pêcheurs et les acteurs du secteur de la... Lire la suite
EMPLOYABILITE DES JEUNES - ’’UN DEPARTEMENT, UN CFP'' : le Ministre Dame Diop annonce un élargissement de la carte des CFP.

La problématique de l’emploi et de l’employabilité des jeunes est le sujet des discussions lancées par... Lire la suite
ENTRETIENS
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EMMIGRATION CLANDESTINE : le témoignage poignant d’un rescapé.
Présentez-vous : Je m'appelle Cheikh Barro. Je suis pêcheur et j'habite à Golf et j... Lire la suite
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ENTRETIEN – COVID 19 : Le directeur de la Pharmacie et du médicament sur le stock de chloroquine au Sénéquine : « On en a suffisam
Pendant que le Coronavirus se propage à pas de géant dans le pays, la communauté scientifi... Lire la suite
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MBOUR – Saer Kébé déplore le refus de sa bourse sans « fondement juridique ni administratif ».
L’étudiant Saer Kébé, se sent lésé par la Direction des bourses. En effet, inscrit réguliè... Lire la suite
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EDUCATION : Après ses 55% de réussite au bac l’année dernière, le Lycée Demba Diop fixe ses objectifs pour cette année.
Troisième plus grand lycée du pays en termes d’effectifs avec ses 3636 potaches, le lycée ... Lire la suite
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ACTUALITE
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IRENE MINGASSON SUR LES ACCORDS DE PECHE AVEC L’UE : « Certaines dimensions doivent être clarifiées pour rassurer ».

Les accords de pêche entre le Sénégal et l’UE restent toujours dans le flou total dans... Lire la suite
MBOUR : Interdit d’accéder au quai de pêche, Bougane Gueye crache le feu.

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EMPLOYABILITE DES JEUNES - ’’UN DEPARTEMENT, UN CFP'' : le Ministre Dame Diop annonce un élargissement de la carte des CFP.

La problématique de l’emploi et de l’employabilité des jeunes est le sujet des discussions lancées par... Lire la suite
POLITIQUE DE LA GESTION COTIERE : Le Sénégal, bon élève dans la gestion de l’espace marine et côtière.

Venu participer à l’atelier, Dacosta a apprécié la participation effective du Sénégal dans la Convention d’Abidjan... Lire la suite
POLITIQUE DE LA GESTION COTIERE : l’absence de planification, un facteur de dégradation du littoral.

La politique de gestion de la mer et du littoral constitue une problématique majeure dans l’économie... Lire la suite
PECHE : la PANEPAS, portée sur les fonts baptismaux.

Le secteur de la pêche est marqué par l’existence de plusieurs organisations d’acteurs. Pour fédérer toutes... Lire la suite
TRAFIC DE DROGUE ET ASSOCIATION DE MALFAITEURS : Assane Ndoye et Amadou Ka paye un lourd tribut.

Cette semaine, la chambre criminelle du Tribunal de Grande Instance de Mbour a commencé à tenir... Lire la suite
DEGRADATION DE LA BIODIVERSITE AU SENEGAL ET EN AFRIQUE : l’UICN et les acteurs tirent la sonnette d’alarme.

Plusieurs espèces naturelles sont menacées de disparition si on n’y prend garde. Conscients de cette situation,... Lire la suite
CAMBRIOLAGE DES LOCAUX DE XIBAARU : APPEL condamne et demande aux éditeurs de presse en ligne de mieux sécuriser leurs bureau

Les locaux du site d’information Xibaaru ont reçu la visite de cambrioleurs ce week-end. Les malfrats... Lire la suite
PRISE EN CHRAGE DES USAGERS DU SERVICE PUBLIC : dématérialisation et digitalisation, les deux remèdes attendus.

Les tracasseries dans les services administratifs, les longues attentes devant les portes des agents de l’administration... Lire la suite
ECONOMIE : une disparité sur la contribution des PME à la croissance notée.

La commande publique est passée de 2007 à 500 milliards de francs Cfa en 2017 à... Lire la suite
IMMOBILIER ET LOGEMENTS SOCIAUX : la CGIS se lance dans la promotion immobilière.

La loi 17 - 32 confère à la CDC, dans le cadre de ses missions de... Lire la suite
BONNE GOUVERNANCE : « le Sénégal prend la première place devant la France et les USA », Malick Sall.

Le Sénégal serait le meilleur élève en matière de bonne gouvernance en Afrique. Mieux, devant la... Lire la suite
LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT D’ARGENT DANS L’ESPACE CEDEAO : le GIABA identifie les défis à relever.

Après 20 ans d’existence et de lutte acharnée contre le blanchiment d’argent et le financement du... Lire la suite
PECHE – RENOUVELLEMENT DU PARC PIROGUIER : la SIRN assure 1000 pirogues par an.

Lors d’une cérémonie de remise de financements aux jeunes de Mbour le mois dernier, le Directeur... Lire la suite
LUTTE CONTRE LA CORRUPTION ET LE BLANCHIMENT D’ARGENT : le GIABA fête sa 20ème année de vie sur fond de bilan d’activités.

Le 10 décembre 1999, dans la ville de Lomé, en République Togolaise, une décision importante a... Lire la suite
EMPLOI DES JEUNES : l’ANPEJ veut réussir son repositionnement stratégique.

La problématique de l’emploi des jeunes est devenue un des sujets favoris dans les débats des... Lire la suite
DIASS – FINANCEMENT DES FEMMES : 550 millions de francs financés aux femmes pour développer leurs activités.

Pour leur permettre de développer sereinement leurs activités économiques, une institution financière et une compagnie d’assurance... Lire la suite
VERDICT DU PROCES DU PERE DE DOUDOU : Mamadou Lamine Faye condamné à 2 ans dont un mois ferme.

Interpellés depuis le 11 novembre dernier pour mise en danger de la personne d’autrui, le père... Lire la suite
SPORT – STADE DE MBOUR : le nouveau bureau joue sur le terrain de la synergie des forces vives du département.

Elus depuis moins de deux semaines, le nouveau bureau du Stade de Mbour, dirigé par El... Lire la suite
IPC – Sortir le Sénégal de la zone rouge : Le Forum civil indique la voie

Le Forum civil a clôturé hier, à Saly, un atelier sur le renforcement de la justice... Lire la suite
POLITIQUE – APR : la naissance d’une Task Force Républicaine autour du Président Macky Sall.

La scène politique sénégalaise est très effervescente ces dernières semaines. Entre débat sur le troisième mandat,... Lire la suite
MBOUR – Révélations du directeur du Coud : «Huit nouveaux pavillons en construction dans le grand campus»

Le Directeur général du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud), Maguette Sène, a annoncé la... Lire la suite
POLITIQUE – AFFAIRE MAHMOUTH SALEH : les cadres et la jeunesse de l’APR de Mbour recadrent les détracteurs du MDC.

Depuis quelques semaines, l’histoire désormais appelé « Affaire Mahmout Saleh » défraie les chroniques. En effet, il s’agit... Lire la suite
MBOUR : un talibé battu à mort dans un Daara, les responsables risquent gros.

Le châtiment corporel est prohibé dans tous les établissements scolaires du sénégal, modernes comme religieux. Mais... Lire la suite
PROCES PERE DE DOUDOU : le père du jeune risque 2 ans de prison.

Le procès du père de Doudou s’est finalement tenu hier au tribunal de grande instance de... Lire la suite
Politique - Patron de Benno Bokk Yakaar à Mbour : Aïssatou Sophie Gladima ne veut plus de Me Omar Youm comme patron.

L’éviction de Me El Hadji Omar Youm à la tête du ministère des transports et des... Lire la suite
POLITIQUE - DIASS : Le Maire veut une révision des décrets sur les terres de sa commune étouffée.

La commune de Diass fait partie des zones les plus prisées par les programmes du PSE.... Lire la suite
PROBLEME D’EAU A KIRENE : les populations Kirène disent non Auqatech et chassent ses agents.

Le village le plus célèbre du Sénégal grâce à son eau se trouve dans une situation... Lire la suite
SOCIETE – GROGNE DES TRAVAILLEURS DE TWYFORD : « l’Etat nous a vendu aux chinois ! »

Les ouvriers de l’usine de carreaux, Twyford, sise à Sindia sont dans une colère incontrôlable. Après... Lire la suite
CULTURE - PEOPLE
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Coronavirus - Les conséquences du confinement. À Mbour, Le secteur informel se résigne et prêche en faveur des recommandations.

La propagation du Covid 19 dans le Sénégal continue son petit bonhomme de chemin. Cette situation... Lire la suite
CULTURE – DISTRIBUTION DES RECETTES DE LA SODAV : « Depuis 2004, je n’ai reçu que 8000f » ; le cri de cœur de Mame J Ras Soul

La SODAV (Société Sénégalaise des Droits d’Auteur et Droits Voisins) a été mise en place depuis... Lire la suite
SOCIETE : Macky Sall offre 5 millions aux Kankourangs de Mbour.

C’est une enveloppe de 5 millions que le Ministre des Infrastructures, des Transports Terrestres et du... Lire la suite
ARRET SUR IMAGES
DEVELOPPEMENT LOCAL
Parole aux Mbourois

Contribution : l'APR va mal à Mbour.
Par amour pour la vérité… Chers camarades calmez-vous un peu! Il suffit juste qu’on parle de votre incompétent...
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Contribution - Covid 19 : Saly dans le désarroi, v
L'heure est grave à Saly je vois un tel post qui dit au Sénégalais d'aller dans...
Lire la suiteINTERNATIONAL

Le coronavirus pourrait ne jamais disparaître, sel
"Nous avons un nouveau virus qui pénètre la population humaine pour la première fois et il...
Lire la suiteTOUS EN CLASSE

COVID 19 - EDUCATION : Prévue initialement le 02 j
L’information est tombée dans le journal de 23h de la télévision nationale ce 01 juin, à...
Lire la suite
MBOUR - Une ouverture des classes hypothétique : l
« L'heure est grave, notre pays est en danger. Vous devez pouvoir lire le malaise des acteurs....
Lire la suiteLES NTIC CHEZ VOUS

Les meilleurs IDE JavaScript
Pour rappel, un IDE ( Integrated Development Environment ou Environnement de développement ) regroupe un ensemble...
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