Finance (33)
Autoroute à péage: Eiffage diminue 800 F CFA sur le tarif
Eiffage qui réclamait 3000 francs Cfa pour le tarif global a revu à la baisse le montant en défalquant 800 Fcfa. Ainsi, pour emprunter le péage à partir de Diamniadio, l’usager devra débourser 800 Fcfa pour rallier l’Aéroport International Blaise Diagne et payer la même somme pour se rendre à Sindia.
A partir du 24 octobre prochain, ce sera opérationnel au grand bonheur des usagers.
Pour rappel les tronchons Diamniadio-Mbour n’a pas été inaugurée à cause des différends sur les prix. Les autorités avaient insisté pour que la société revoie à la baisse les tarifs considérés trop élevés pour les automobilistes.
SOURCE : SENEGO
BLANCHIMENT D’ARGENT : Le Giaba veut des «réponses stratégiques» pour freiner le crime organisé
Des réformes sont nécessaires pour rendre émergents les Etats africains et pour lutter contre les blanchiments des capitaux et le terrorisme. Cela permet aussi aux pays d’avoir un secteur financier plus solide, selon le Giaba.
Le Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’ouest (Giaba) a ratifié les normes révisées du Groupe d’action financière (Gafi). C’était lors de la 17ème réunion plénière de sa commission technique et de son 11ème comité ministériel, tenus à Abidjan en mai 2012. Le Giaba s’est aussi engagé à assurer l’application effective des normes révisées dans les Etats membres et à évaluer leur degré de conformité par le biais du processus d’évaluation mutuelle. Les résultats ont révélé d’importantes déficiences dans les dispositifs des Etats. Les cinq dernières années ont vu trois des Etats membres du Giaba (Ghana, Nigeria et Libéria, Ndlr) figurer sur la liste gris-foncé de l’Icrg, c’est-à-dire comme ayant des lacunes graves dans leurs dispositifs. «Figurer sur la liste de l’Icrg est une sanction grave de conséquences pour les pays concernés avec un effet contagieux sur d’autres membres de la région», a confié, hier à Saly, le directeur général du Giaba Adama Coulibaly. Prenant part au forum des parties prenantes sur les questions émergentes de lutte contre le blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme et les incidences pour les Etats membres, M. Coulibaly
précise que le Ghana, le Nigeria et le Libéria ont quitté cette liste gris-foncé à force de réformes.
Selon le Dg de la Giaba, la communauté internationale hisse la conformité aux normes internationales en une exigence majeure pour l’intégrité du système financier et la promotion de la croissance. D’ailleurs, c’est pour
cette raison que les normes révisées du Gafi, adoptées en 2012, intègrent outre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, la dimension nouvelle de financement de la prolifération des armes de destruction
massive. «Ces normes requièrent des Etats l’obligation de disposer d’un secteur financier plus
solide, d’outils de répression criminelle renforcés et la mise en oeuvre d’une coopération internationale
améliorée et plus dynamique. De façon particulière, les normes exigent, entre autres, que les pays mettent en œuvre des sanctions financières ciblées pour se conformer aux résolutions du Conseil de sécurité des
Nations unies relatives à la prévention, à la répression et à l’interruption de la prolifération des armes de destruction massive et de son financement», explique M. Coulibaly.
Le processus du second cycle d’évaluation par les pairs des Etats membres du Giaba débutera en septembre prochain par la visite sur place au Ghana, selon le calendrier approuvé, par le Comité ministériel du Giaba
(Cmc) et adopté par le Conseil des ministres de la Cedeao. Cependant, le constat est que la plupart des Etats membres n’ont pas encore mis en place des structures requises ainsi que d’autres dispositions pour permettre
d’obtenir une bonne performance dans leurs évaluations mutuelles. C’est ainsi que le président de la commission de la Cedeao, Marcel Alain de Souza, a estimé qu’il faut renforcer les réponses stratégiques pour espérer relever les défis multiformes engendrés par le crime organisé à l’orée de ce second cycle d’évaluation. «Tous les organismes (pouvoir judiciaire, agences de répression criminelle, cellules de renseignement financier, organes de contrôle/régulation, organes de poursuite, assujettis, etc.) doivent être renforcés afin d’améliorer les efforts régionaux globaux dans la lute contre le crime organisé», indique le Président de la commission de la Cedeao.
De la même manière, il est attendu du secrétariat du Giaba qu’il fournisse une assistance technique aux Etats membres afin de les préparer aux évaluations de manière adéquate au moment même où la sphère d’action du Giaba enregistre des risques émergents nécessitant une action urgente.
El Hadji Alassane DIALLO
Babacar Pascal Dione, Chef de centre des services fiscaux de Thiès : « Impliquer les religieux pour une meilleure transmission du message fiscal »
Après s’être félicité du déroulé de la cérémonie inaugurale des journées d’informations et de sensibilisation qu’il a eu l’honneur d’accueillir, le Chef de centre des services fiscaux de Thiès, Babacar Pascal Dione s’est fortement réjoui de la thématique développé cette année portant sur « l'école et la promotion du civisme fiscal. »
Une manière selon lui, d’impliquer l’école dans sa globalité avec comme marque particulière les écoles coraniques, les «daraa » et les «dahiras » qui sont de véritables vecteurs de formation de l’homme. Annonçant un partenariat entre la DGID et le ministère de l’éducation nationale portant sur la promotion du civisme fiscal, le chef de centre des services fiscaux de Thiès indiquera que la DGID est plus que jamais inscrite dans une démarche d’innovation pour mieux favoriser le réflexe de la fiscalité.
Source : dakaractu
Corruption dans les collectivités locales : La sensibilisation pour éradiquer le fléau
La corruption est un phénomène qui n’épargne aucun pays, aucun secteur d’activités. Néanmoins au Sénégal, les collectivités locales ne sont pas bien positionnées dans la prévention et la lutte contre la corruption. Pour corriger ces impairs, Enda Ecopop en partenariat avec le Programme national de Développement (PNDL) organisent, à Saly, une session de formation au profit des collectivités locales.
Il n’existe pas encore au Sénégal des modèles de gestion des affaires locales basés sur un contrôle rigoureux et une application correcte des mécanismes de contrôle de l’utilisation des ressources locales. Une telle démarche nécessite des compétences que les collectivités locales n’ont pas. D’où ‘’l’innovation majeure’’ que constitue cette session de formation organisée par Enda Ecopop et PNDL.
« les initiateurs de cette formation ont décidé de prendre le taureau par les cornes, d’abord au niveau des collectivités locales et aussi convaincre les décideurs locaux et autres en les sensibilisant sur l’existence du phénomène de la corruption, dans la mesure où dans la deuxième phase de l’Acte III de la décentralisation, beaucoup de ressources vont être allouées aux collectivités », a indiqué Yakhya Cissé, chef de la division planification et formation à l’Agence régionale de développement (ARD) de Kaolack .
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Pour sa part, le coordonnateur exécutif de ENDA Ecopop, Bachir Kanouté, a révélé que les collectivités locales n’ont pas les capacités technique et institutionnelle de l’Etat à lutter contre le phénomène de la corruption.
« Il faut analyser la corruption de manière participative et voir comment on peut l’éradiquer, parce qu’il y va de l’intérêt des populations qui devront recevoir des ressources et des services pour répondre à leurs besoins essentiels », a estimé M. Kanouté.
Pour ces initiateurs, les méfaits de ce phénomène font qu’il faut des initiatives de cette nature pour arriver à éradiquer la corruption.
« Si cette corruption n’est pas éradiquée ou si elle n’est pas identifiée et traitée de manière adéquate, quels que soient les mécanismes qu’on peut mettre en place pour mobiliser les ressources, elles n’iront pas vers la prise en charge des droits des populations », a ajouté M. Kanouté.
De la même manière, il faut une vision, des compétences et une implication des employés des collectivités locales et des dirigeants pour lutter efficacement contre la corruption dans les collectivités locales,.
El Hadji Alassane Diallo
Débat sur le taux de croissance en 2015: Le PM recadre les contestataires
Le débat sur le taux de croissance du Sénégal en 2015 est loin de connaitre son épilogue. Le Premier ministre, Mahammed Boun Abdallah Dionne, a mis à profit la tribune Des Rendez-vous républicains des cadres de l’Alliance pour la République, samedi à Saly, pour recadrer ceux qui contestent les chiffres prononcés par le chef de l’Etat. Par ailleurs, le chef du gouvernement a reconnu que ‘’l’économie sénégalaise ne créé pas suffisamment d’emplois formels’’.
Le Premier ministre est monté au créneau pour défendre « son patron » sur le débat né des chiffres que le Président Macky Sall avait avancés lors de son adresse à la nation le 31 décembre dernier. Mahammed Boun Abdallah Dionne n’a pas manqué de qualifier que le débat sur le taux de croissance est ‘’un débat virtuel’’. De même, le PM a fait savoir qu’il est fallacieux de soutenir que les statistiques ce sont des outils politiques. « Les statistiques c’est les maths. En mathématiques, il n’ya pas de politique », explique-t-il.
Le PM estime que Ceux qui disent que 6,4% ce n’est pas beaucoup ne sont pas ambitieux.
« L’objectif du PSE qui a été présenté en février 2014 à Paris avait comme scénario d’émergence en 2015 un taux de croissance de 6,7%, 6,7% en 2016, 8% en 2017 et 8,3% en 2018 ce qui ferait une moyenne sur la période 2014-2018 une moyenne de 7,1% de croissance du PIB réel. C’est cela l’ambition du Président Macky Sall. La moyenne des quatre années qui précède 2008-2012 le PIB était de 3,1%. L’ancien régime avait fait en quatre ans une moyenne de 3,1% du PIB. Ce n’est pas que je ne sais pas faire que les autres ne peuvent pas faire », martèle le PM.
Dans la foulée, le chef du gouvernement est revenu les performances réalisées par notre cette année dans le secteur agricole avec notamment ‘’plus d’un million de tonnes d’arachide, 900mille de tonnes de riz, 917mille de riz paddy, 772mille tonnes de mil’’.
‘’Les chiffres définitifs de la croissance seront connus en mars’’
De la même manière, Mahammed Boun Abdallah Dionne a enfilé son costume ‘’d’économiste’’ pour passer en revenu le processus qui mène au calcul du Produit intérieur brut (PIB) d’un pays.
« La croissance se calcule et les chiffres définitifs seront connus en février, mars au plus tard. Mais nous avons un instrument qui mesure la croissance en infra-annuel ça s’appelle l’indice général d’activités (IGEA) qui calcule tous les mois par les services du ministère de l’économie, des finances et du Plan », fait-il-savoir.
Ainsi , le PM renseigne tous les mois le gouvernement sait comment l’IGEA se comporte. De ce fait selon ses dires, Entre novembre 30 2014 et 30 novembre 2015, cet indice synthétique de la production hors agriculture a augmenté de 9,4%.
« le dernier IGEA date du 30 novembre 2015, celui de décembre n’est pas encore connu. Quand il sera connu, plus les premières évaluations de l’ANDSA vous verrez que nous fera près de 7% », ajoute M. Dionne.
L’emploi formel, la grande faiblesse de notre économie
Toutefois, le premier ministre a reconnu que notre économie traine des faiblesses qui l’empêchent de réaliser de plus grandes performances. Il a reconnu l’exsitence de faiblesses dans contrats alimentaires, la fabrication de papiers, travail du bois, entre autres.
« La grande faiblesse que nous avons dans le secteur tertiaire ce sont les services d’hébergement et de restauration. À Saly, la mer est en train de prendre les hôtels. Mais on a un projet pour sécuriser la Côte et on va le faire cette année. Il y a aussi un besoin de mise à niveau de nos infrastructures », indique-t-il.
En outre, il a estimé que la grande faiblesse de notre économie est qu’elle ne créé pas suffisamment d’emplois formels. « Dans le milieu rural, il y a les fermes agricoles qui permettent aux jeunes d’avoir du travail. Mais en milieu périurbain, il nous faut régler cette question. L’emploi ça ne se décrète pas, il découle de l’investissement. C’est pourquoi nous travaillons sur les réformes, mais aussi sur les infrastructures de soutien à l’investissement tel que les parcs industriels », concède le PM.
A la suite du Premier ministre, le ministre de l’économie, des fiances et du Plan, Amadou Ba, a animé un panel sur le financement de l’économie nationale.
BLANCHIMENT D’ARGENT : LE GIABA plaide la cause des Cellules de Renseignements Financiers
Le Directeur général du Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (GIABA), Adama Coulibaly, a plaidé la cause des Cellules de Renseignements Financiers (CRF) hier à l’ouverture la 24ème commission technique du GIABA, à Saly. Ainsi, Adama Coulibaly a invité les autorités des Etats membres à donner aux CRF la place qu’elles méritent dans l’architecture budgétaire nationale.
Le Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l'Ouest (GIABA) tient sa 24ème Réunion Plénière de sa Commission Technique.
L’objectif visé est de discuter, entre techniciens des États membres (E.M), des menaces et défis liés au blanchiment de capitaux et au financement du terrorisme dans la région. La Plénière du GIABA permet également aux Etats membres de partager des expériences sur la mise en œuvre effective des mesures de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT). Le Directeur général du GIABA a mis à profit l’ouverture de cette plénière pour inviter les Etats membres à donner aux Cellules de Renseignements Financiers (CRF).
« Nous voudrions lancer un appel solennel à l’endroit des autorités de nos Etats pour qu’elles donnent désormais aux CRF la place qu’elles méritent dans l’architecture budgétaire nationale en leur qualité d’institution de sécurisation des systèmes financiers, de stabilité économique, de promotion de la bonne gouvernance et de renforcement du système sécuritaire national pour un développement plus propice aux affaires », a lancé le DG du GIABA, Adama Coulibaly.
Une telle démarche permettra à la région de mener dans les conditions requises ce processus de deuxième cycle d’évaluation basé sur la conformité technique et l’efficacité. « Nous sommes unanimes que ce processus du second cycle est complexe et hautement technique qui nécessitera une forte mobilisation et une coordination renforcée de toutes les parties prenantes au plan national un développement en synergie de nos expériences et expertises au plan régional. Par ailleurs, la disponibilité de ressources financières adéquates se dégage être le facteur déterminant pour mener avec ce succès sa mise en œuvre », a ajouté M. Coulibaly.
Venu présider la cérémonie d’ouverture, le secrétaire général du ministre de l’Economie, des Finances et Plan, a insisté sur le fait que le blanchiment des capitaux est un péril qui est à nos frontières et par conséquent doit inciter à la mise en place d’un cadre juridique et institutionnel à même de prévenir ce phénomène, de le détecter et de sanctionner ces auteurs.
Tirant les leçons de la mise en œuvre du Plan stratégique 2011-2014, le GIA a élaboré un Plan stratégique 2016-2020 qui sera soumis
El Hadji Alassane Diallo
BLANCHIMENT D’ARGENT : La Centif récupère 678 millions et saisit deux terrains
Après environ dix ans d’existence, c’est le temps des moissons pour la Cellule nationale de traitement des informations financières du Sénégal (Centif). En effet, selon son Président Waly Ndour, cet organe a récupéré 678 millions FCFA et a saisi deux terrains qui appartenaient à des personnes reconnues coupables de blanchiment d’argent.
La Cellule nationale de traitement des informations financières du Sénégal (Centif) s’apprête à sortir son rapport. Néanmoins, son Président a dévoilé un pan important de cette publication tant attendue.
« Pour la première fois, nous avons récupéré 678 millions FCFA et nous avons saisi deux terrains qui appartenaient à des personnes reconnues coupables de blanchiment d’argent. C’est une étape importante que nous franchissons. Le premier recouvrement effectif d’avoirs sur des criminels pour des faits de blanchiment est intervenu en 2014 alors que la Centif est opérationnel depuis 2005 », annonce le Président de la Centif, Waly Ndour, qui a précisé les coupables n’étaient pas des politiciens.
Toutefois, il reste encore d’autres chantiers à explorer par ces vigiles de la lutte contre le blanchiment d’argent souhaitent la mise en place ‘’des mécanismes plus huilés et accélérer le processus de traitement des dossiers au niveau de la justice.’’
« Nous avons une espèce de lacune dans quasiment tous les dispositifs des Etats. Parmi ces lacunes, il y a le fait que nous n’avons pas encore un organisme avec des modalités précises qui permet dès qu’une condamnation est faite qu’il y ait des personnes qui s’emparent tout de suite de cette décision de justice en mobilisant les services se chargeant de l’exécution jusqu’à récupérer les avoirs et voir comment les gérer. Tout cela doit être défini dans les textes et règlements. Au moment où nous vous parlons, c’est un chantier que nous avons », fait savoir M. Ndour.
Ces acquis obtenus par le Sénégal dans la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme n’est pas été de tout repos depuis sa mise en place en 2005 à la suite de la loi uniforme n° 2004-09 du 6 février 2004 relative à la lutte contre le blanchiment de capitaux. Il s’agissait d’une réponse du Sénégal à la mobilisation internationale réaffirmée par la volonté clairement traduite au plan sous régional (UEMOA, CEDEAO) par le Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (GIABA).
« En 2007, la Centif Sénégal venait d’être créé on s’attelait à mettre ne place les conditions techniques de fonctionnement de cette institution. En ce moment, l’aspect recouvrement n’était pas à l’ordre du jour. C’était une de nos lacunes. Au fur à mesure que nous avançons, nous avons pris en charge l’aspect recouvrement. C’est ainsi que nos cours et tribunaux ont commencé à se pencher sur les rapports de la Centif et des condamnations ont été faites à l’encontre de personnes coupables de blanchiment d’argent », ajoute-t-il.
Le Président du Centif, par ailleurs correspondant national du GIABA/Sénégal, prend part à la 24ème commission technique du GIABA à Saly.
El Hadji Alassane Diallo
Economie informelle en Afrique subsaharienne : L’urgence de la transition vers la formalité
L’économie informelle est particulièrement répandue dans les secteurs caractérisés par des unités économiques de petite taille ou l’auto-emploi, comme la construction, le commerce, les services domestiques et l’agriculture. . En Afrique sub-saharienne, l’emploi informel représente 65% de l’emploi non agricole. Des experts estiment que la transition vers l’économie formelle est devenue un enjeu économique et social majeur. Néanmoins, cette transition reste ardue et complexe du fait notamment de l’hétérogénéité de l’économie informelle mais aussi de la multiplicité des causes de l’informalité.
Pour de nombreux acteurs, la transition vers l’économie formelle est de plus en plus perçue comme un enjeu économique et social majeur. D’une part au regard notamment des pratiques peu orthodoxes en cours dans ce secteur. D’autre part, aux personnes qui y sont privées de travail stable et sécurisé.
« La majorité des travailleurs de l’économie informelle perçoit des revenus inférieurs à la moyenne des revenus de tous les travailleurs. Ils sont privés de travail stable et sécurisé. Ils manquent de couverture sociale, sont exposés à des conditions de travail médiocres – avec des risques de santé et sécurité au travail plus élevés - et sont souvent incapables d’exercer leurs droits fondamentaux, ni d’accéder à la liberté d’expression et de représentation au travail. Les catégories les plus fragiles telles que les jeunes, les femmes, les migrants, et les travailleurs ruraux, ont tendance à être plus exposés à ces risques. Malheureusement l’économie informelle représente pour ces catégories quasiment le seul point d’entrée possible sur le marché du travail », a déclaré Moussa Oumarou, Directeur Département de la gouvernance et du tripartisme de l’OIT.
Face cette situation, des experts estiment qu’il y a un besoin urgent en particulier en Afrique sub-saharienne, de reformuler les interventions politiques de façon à ce que ces dernières facilitent la transition vers la formalité. Cela permettra ainsi de réduire la pauvreté et favoriser un développement économique durable, par la création d’emplois formels, des gains de productivité élevés, des conditions de travail justes, un accès équitable aux emplois de qualité, des rentrées fiscales en hausse, etc.
Néanmoins, cette transition ver la formalité ne se fera pas sans heurts du fait notamment de l’hétérogénéité de l’économie informelle et de la multiplicité des causes de l’informalité. « En conséquence, il n’y a pas un cadre politique unique et universel, mais plutôt un ensemble d’approches multidimensionnelles qui peuvent être combinées et adaptées à chaque contexte national. Ces approches doivent prendre en compte la diversité des caractéristiques, des circonstances et des besoins des travailleurs et des unités économiques de l’économie informelle », précise Moussa Oumarou.
Pour le Directeur Département de la gouvernance et du tripartisme de l’OIT, la réussite d’une telle démarche passe par la combinaison des mesures incitatives à des mesures coercitives qui ne doivent pas seulement viser à renforcer les capacités de l’inspection du travail, mais aussi à accroître l’offre d’emplois formels et créer des incitations appropriées à la formalisation en faisant appel à différents acteurs, tels que les administrations fiscales et sociales. Il a aussi relevé la nécessité de faire jouer le tripartisme un rôle clé dans ce processus de réforme des politiques afin de s’assurer d’un processus participatif de formulation des politiques et une appropriation large des politiques.
Pour sa part, le directeur de cabinet du ministre du travail, du dialogue social et des organisations professionnels, Amath Camara, s’est réjoui de l’adoption de la Recommandation 204 concernant la transition de l’économie informelle vers l’économie formelle, lors de la Conférence Internationale du Travail de Juin 2015. En outre, il a invité les acteurs à promouvoir des actions intégrées ou spécifiques de promotion de la formalisation de l’emploi et des entreprises de l’économie informelle.
Un atelier sous-régional de partage d’expériences sur la transition vers l’économie formelle – Afrique francophone s’est ouvert, mardi, à Somone. Des délégations du Sénégal, Bénin, de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso, Mali, Cameroun et du Tchad, mais aussi des représentants de l’UEMOA, de l’Agence Française de développement, de la BAD, et des agences des Nations Unies prennent part à cette rencontre organisée par le Centre International de Formation de l’OIT.
El Hadji Alassane Diallo
CEDEAO : Dans l’attente de statistiques sur le blanchiment d’argent
Après quinze années d’existence, Le Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (GIABA) va entamer le second cycle d’évaluation mutuelle des Etats. Pour son directeur général, Adama Coulibaly, cette phase permettra à terme d’avoir des statistiques en matière de condamnation, de gel et de confiscation.
Le Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (GIABA) a procédé, samedi à Saly, à la validation du rapport d’évaluation indépendante de son plan stratégique 2011-2014. A cette occasion, les autorités de GIABA ont émis la nécessité d’accentuer l’action de cette institution pour espérer attendre ‘’des résultats plus significatifs et plus concrets’’ ; surtout au moment où cette organisation aborde le second cycle d’évaluation mutuelle des Etats.
« Cette action sera essentiellement consacrée au renforcement des capacités des structures des autorités de supervision et de contrôle à savoir les magistrats, les juges, les autorités d’enquête dans les Etats afin que les dispositifs soient plus visibles au niveau des populations », a souligné Adama Coulibaly, directeur général du Groupe intergouvernemental d'action contre le blanchiment d'argent en Afrique de l'Ouest (GIABA).
Pour le DG de GIABA, les attentes de la population ne se limitent pas seulement à l’existence des textes, mais elles s’attachent aussi à leur application. « Nous nous engagerons dans cette voie pour que les recommandations et résolutions formulées ici soient beaucoup plus partagées dans les Etats et puis soient mises en œuvre. Cela nous permettra de dire que la première phase de Giaba, c'est-à-dire les quinze années, a fourni des acquis importants aux Etats », estime M. Coulibaly.
Selon lui, l’enjeu aujourd’hui est de permettre aux Etats d’enclencher ce processus de second cycle d’évaluation des Etats dans de bonnes conditions. « C’est un cycle obligatoire pour tous les Etats qui sera perpétré selon l’agenda défini par le Conseil des ministres. Ce processus sera un cycle de finalisation de renforcement de capacité des Etats qui nous permettra d’avoir des statistiques en matière de condamnation, de gel et de confiscation », ajoute-t-il.
Par ailleurs, le DG de GIABA fait savoir qu’aucun Etat ne peut se soustraire de l’application des textes, au risque de se voir sanctionner.
« Maintenant dans l’application, il peut y avoir des failles parce que le dispositif est progressif. Le Giaba laisse le soin aux Etats de trouver les mécanismes internes les plus appropriés pour que les résultats recherchés soient atteints », précise Adama Coulibaly.
L’on rappelle que le GIABA, créé en 2000, est une institution spécialisée de la CEDEAO qui est chargée de renforcer la capacité des États membres en vue de la prévention et du contrôle du blanchiment d’argent et du financement du terrorisme dans la région.
El Hadji Alassane Diallo
Développement et population: Des experts tracent la voie à suivre
En dépit d’une structure de la population marquée par l’importance des jeunes et une forte fécondité, le Sénégal peine à tirer profit de cette masse critique à l’instar de certains pays asiatiques. Pour corriger cet impair, des experts nationaux prennent part à un séminaire, à Saly, portant sur une analyse approfondie sur le dividende démographique.
Selon les experts le dividende démographique est l’avantage économique et social que peut tirer un pays en cours de transition démographique, durant une période suivant la baisse de la natalité et de la mortalité. Le Sénégal n’en est pas encore là. En, effet, notre pays a encore une structure de la population marquée une forte fécondité et un taux de mortalité élevé.
« Le Sénégal a une structure de la population marqué des jeunes, une forte fécondité, une mortalité qui reste encore élevée. L’idée dividende démographique est de profiter de cette critique des jeunes et mettre une politique multisectorielle pour tirer profit de ces jeunes à l’instar de certains asiatiques qui utilisé le même procédé pour devenir émergents », a estimé Pape Madiop Diop, chargé de programmes Fonds des nations unies pour la population.
Mais seulement l’importance démographique ne suffit pas pour asseoir un développement. Selon le directeur général du développement du capital humain au ministère de l’économie et des finances, il faut investir dans des secteurs clés pour avoir un capital humain de qualité.
« La question de l’évolution de la population surtout dans sa structure dynamique est importante. Il s’agit de donner une population de qualité en investissant dans des domaines prioritaires comme la santé, l’éducation, l’emploi des jeunes, la bonne gouvernance. Le dividende démographique doit se référer à l’évolution de la population. Une population en âge de travailler est un atout pour le développement économique mais l’importance démographique ne suffit pas. Il faut investir dans des domaines prioritaires pour avoir une population de qualité », a expliqué Bakary Djiba, directeur général du développement humain au ministère de l’économie et des finances.
Pour faire profiter au Sénégal du dividende démographique et d’identifier des options de politique et programme afin d’optimiser son développement, le Fonds des nations unies pour la population (UNFPA) organise un séminaire à l’intention des experts nationaux.
« Le séminaire rentre dans le processus déjà lancé au mois de mai en vue de l’élaboration d’un document de référence pour la capture du dividende démographique. Aujourd’hui, il nous faut accélérer la baisse de la fécondité. Une fois que nous aurons cette une masse critique de populations en âge de travailler, il faut leur inculquer une bonne éducation, une bonne santé et la création d’emplois pour tirer profit de ce dividende », a ajouté M. Djiba.
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ENTRETIEN – COVID 19 : Le directeur de la Pharmacie et du médicament sur le stock de chloroquine au Sénéquine : « On en a suffisam
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MBOUR – Saer Kébé déplore le refus de sa bourse sans « fondement juridique ni administratif ».
L’étudiant Saer Kébé, se sent lésé par la Direction des bourses. En effet, inscrit réguliè... Lire la suite
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EDUCATION : Après ses 55% de réussite au bac l’année dernière, le Lycée Demba Diop fixe ses objectifs pour cette année.
Troisième plus grand lycée du pays en termes d’effectifs avec ses 3636 potaches, le lycée ... Lire la suite
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La propagation du Covid 19 dans le Sénégal continue son petit bonhomme de chemin. Cette situation... Lire la suite
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MBOUR - Une ouverture des classes hypothétique : l
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